CHAMPAGNOLE
Musée archéologique gallo-romain et mérovingien Le Musée archéologique a été créé en 1985 pour accueillir des collections importantes issues de fouilles archéologiques menées dans les environs de Champagnole. Il a pour mission de préserver et présenter des objets permettant de comprendre l’histoire et l’évolution du Pays de la haute vallée de l’Ain.
Ce musée municipal est placé sous la responsabilité scientifique et technique de la conservation départementale d’archéologie du Jura.
Église Saint-Cyr-et-Sainte-JulitteConstruction : 1755 Style : classique.
Histoire : Dans cette église, le tabernacle, construit en 1764, est démoli en 1793. Il est remplacé par un retable des Ursulines de Poligny datant du XVIIe siècle, acheté en 1792 après la suppression du couvent de ces dernières. En 1788, l’église, jugée trop petite, est agrandie par deux nefs latérales.
L’orgue, construit en 1721 par le facteur Marin Carouge, était initialement installé dans l’église des Dominicains de Poligny. Il devient propriété de l’église de Champagnole après la Révolution française de 1792, mais n’est installé qu’en 1807 dans la tribune spécialement édifiée. Il reste l’un des fleurons du patrimoine culturel de la ville.
Classement : Inscrite Monument Historique en 1994.
Route des sapins La Route des sapins relie Champagnole à Levier, traversant l’une des plus belles sapinières d’Europe. Jalonné de 19 sites touristiques, ce parcours permet de découvrir l’histoire, la faune, la flore, les particularités, l’exploitation forestière, ainsi que des balades et des belvédères offrant des paysages exceptionnels.
Villa palladienne de Syam (à 6 km) Construction : 1818.
Histoire : La villa palladienne est un trésor d’architecture néoclassique, unique témoignage de la vie des maîtres de forges. Elle a été édifiée par Emmanuel Jobez, qui s’est inspiré des règles de l’art de l’architecte de la Renaissance italienne, Andréa Palladio. La maison est construite autour d’un péristyle formant un théâtre, et a conservé son mobilier d’époque, créant une atmosphère émouvante qui plonge le visiteur dans le XIXe siècle.
Signes particuliers : On peut y contempler une fabuleuse collection de papiers peints datant du début du XIXe siècle, dans un état de conservation exceptionnel.
Classement :Monument Historique depuis 1994.
PLATEAU DE SOLAISON
Plateau de Solaison Situé au-dessus du village de Brison, le plateau de Solaison s’élève à 1 500 mètres d’altitude, en pleine nature, blotti entre la pointe d’Andey et les rochers de Leschaux. Ce site préservé se transforme selon les saisons : alpages verdoyants en été, il devient un domaine skiable en hiver, dans un cadre sauvage et préservé.
Le plateau abrite une cinquantaine de chalets d’alpage, aujourd’hui résidentiels, qui témoignent d’une tradition pastorale séculaire. Autrefois, ces chalets étaient directement liés aux activités agricoles de la commune de Brison.
Gîte La Fruitière Située sur la commune de Brison, en Haute-Savoie, l’ancienne fruitière du plateau de Solaison a été réaménagée en gîte de groupe au début des années 1990. Ouvert toute l’année, ce gîte offre une capacité de trente-six couchages et propose des repas pour des groupes de huit à trente-six personnes.
Église Saint-Théodule de BrizonConstruction :1480 (première chapelle), puis 1852 pour l’église actuelle. Style :néo-classique sarde.
Histoire : Une première chapelle, dédiée à Notre-Dame, puis à Théodore d’Octodure, a été édifiée vers 1480. L’église actuelle a été reconstruite sur ce même emplacement entre 1850 et 1852, selon les plans de l’architecte Ernesto Melano. Une particularité architecturale marque cet édifice : le chœur est orienté vers le couchant, et non vers l’est, comme le veut la tradition.
La Pointe d’Andey Située dans le Nord du massif des Bornes, la pointe d’Andey est entourée par :
La vallée de l’Arve (où se trouvent Bonneville et Saint-Pierre-en-Faucigny) au nord, La vallée du Borne et les gorges des Évaux à l’ouest, Le col de Solaison, qui la sépare des rochers de Leschaux, au sud, Le plateau de Mont-Saxonnex à l’est.Culminant à 1 877 mètres d’altitude, son sommet est accessible depuis le col de Solaison. La pointe d’Andey a inspiré le peintre suisse Ferdinand Hodler, qui l’a représentée en 1909. Ce tableau, initialement intitulé « Paysage », est aujourd’hui connu sous le nom « La pointe d’Andey, vallée de l’Arve » et appartient aux collections du musée d’Orsay.
Rochers de Leschaux La montagne des rochers de Leschaux est également située dans le Nord du massif des Bornes. Elle est bordée par :
La vallée du Borne et le village du Petit-Bornand à l’ouest et au sud, Le col de Cenise à l’est, Le col de Solaison au nord.Avec un sommet à 1 936 mètres d’altitude, elle domine le Petit-Bornand et marque le rebord d’un crêt par une falaise impressionnante.
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