Vif : cette petite ville de l'Isère est encadrée par des paysages de montagne époustouflants. Destination idéale pour les amoureuses et amoureux de la nature, Vif offre de superbes sentiers de randonnée ainsi qu'une atmosphère paisible pour se détendre après une journée de course. Ne manquez pas le musée Champollion, qui célèbre le lien entre la ville et le déchiffreur de la pierre de Rosette, pour ajouter une touche historique à votre visite.
Courchevel : Courchevel s'anime pendant le Tour, attirant les fans non seulement pour ses pistes de ski de renommée mondiale, mais également pour son ambiance alpine animée. Profitez de vues imprenables sur les montagnes dans des établissements charmants où vous pourrez passer la soirée dans un mélange de détente et d'excitation après avoir encouragé les cyclistes. Découvrez également les boutiques haut de gamme et les restaurants gastronomiques de la ville ; un cadre parfait pour se détendre avec style.
Région Auvergne-Rhône Alpes
Départements : Ain, Allier, Ardèche, Cantal, Drôme, Isère, Loire, Haute-Loire, Puy-de-Dôme, Rhône, Métropole de Lyon, Savoie, Haute-Savoie.
Population : 8 millions d’habitants
Préfecture : Lyon
Superficie : 69 711 km2
Spécialités : vins du Beaujolais, des côtes du Rhône et de Savoie, spécialités lyonnaises (quenelles, cervelles de canut, saucisson..), potée auvergnate, spécialités savoyardes (raclette, fondue, tartiflettes, diots, crozets), fromages (beaufort, reblochon, cantal, bleu d’Auvergne, Salers, saint-Nectaire…), lentille verte du Puy, eaux (Evian, Thonon, Volvic) verveine, chartreuse.
Clubs sportifs : Olympique Lyonnais, AS Saint-Etienne, Clermont Foot 63, Grenoble Foot 38 (football). ASM Clermont, Lyon OU, FC Grenoble, Stade Aurillacois, US Oyonnax (rugby), ASVEL Villeurbanne (basket), Chambéry (handball), Brûleurs de loup Grenoble, Pionniers de Chamonix (hockey-sur-glace)
Compétitions : coupe du monde de football féminin, compétitions de ski (critérium de la Première neige à Val d’Isère), cols du Tour de France, Critérium du Dauphiné.
Économie : (8e région européenne) industries de pointe, automobile (Berliet), métallurgie, caoutchouc, plastiques, chimie, électronique, agroalimentaire, textile, numérique, banques, universités, administrations, viticulture. Pneumatiques (Michelin). Design. Nouvelles technologies (Inovallée). Tourisme d’hiver et d’été.
Festivals : Fête des Lumières à Lyon / Nuits de Fourvière à Lyon / Quais du polar à Lyon / Biennale du design à Saint-Etienne / Festival de musique classique de La Chaise-Dieu
Sites touristiques : vieux Lyon et Croix-Rousse, cathédrale du Puy-en-Velay, lac d’Annecy, château de Chambéry, sports d’hivers en Isère, Savoie et Haute-Savoie, Cantal, Stations thermales, volcans d’Auvergne. Caverne du Pont d’Arc. Château de Grignan. Bastille de Grenoble. Vulcania. Parc des Oiseaux.
Sites web et réseaux sociaux : www.auvergnerhonealpes.fr
ISÈRE (38)
Région : Auvergne-Rhône-Alpes
Population : 1 264 979 hab. (soit 15,7 % d’Auvergne-Rhône-Alpes)
Préfecture : Grenoble
Sous-préfectures : Vienne, La Tour du Pin
Nombre de communes : 521
Superficie : 7 431 Km² (11% d’Auvergne-Rhône-Alpes)
Spécialités : La noix de Grenoble (AOC), le St Marcellin (fromage IGP), le Bleu du Vercors-Sassenage (fromage AOP), les ravioles, la liqueur de Chartreuse, chocolats Bonnat, l’antésite, les vins : Coteaux du Grésivaudan, Balmes Dauphinoises, Collines Rhodaniennes (vins IGP), Vitis Vienna (vins de Vienne), la truite du Vercors, les viandes d’alpage (bœuf, agneau), le gratin dauphinois, la brioche de Bourgoin, le murçon (charcuterie)…
Clubs sportifs : FC Grenoble (rugby), Brûleurs de loups (hockey sur glace), GF38 (football), CSBJ (rugby), Les bruleurs, Les ours de Villard (hockey), Rugby Sassenage Isère (rugby féminin).
Compétitions : La Foulée blanche à Autrans, l’Ut4M (Ultra tour des 4 massifs), le Trail des passerelles du Monteynard, l’Echappée belle (Ultra traversée de Belledonne), EuroNordicWalk Vercors, le Grand Duc-trail de Chartreuse, La Marmotte à l’Alpe d’Huez (épreuve cyclosportive)
Festivals : La Coupe Icare à St Hilaire du Touvet / Festival de l’Alpe d’Huez (festival du film de comédie en Isère) / Festival Berlioz à la Côte Saint-André / Festival Jazz à Vienne, Festival du film de montagne d’Autrans / Vélo Vert Festival à Villard de Lans / Tomorrowland à l’Alpe d’Huez.
Économie : Industrie, électronique, numérique, micro et nanoélectronique, informatique, recherche, santé, hydroélectricité, chimie et environnement, énergies, thermalisme, tourisme
Principaux sites touristiques : Monastère de la Grande Chartreuse, Tour Perret, Fort de la Bastille et bulles de Grenoble, Fort Barraux, maisons suspendues de Pont-en-Royans, lac de Monteynard avec ses passerelles himalayennes, Mont Aiguille (berceau de l’alpinisme), cités médiévales de Saint-Antoine-l’Abbaye et de Crémieux, château de Vizille (berceau de la révolution française), petit train de la Mure…
Sites web et réseaux sociaux : www.alpesishere.com / www.cyclo-alpes.com / www.isere.fr
Question dénivelé, l’Isère est le 2e département français (3 954 m). Ici, tout se vit entre 134 m et 4 088 m d’altitude (pic Lory). Dans des paysages variés, des sommets des Ecrins aux bords du Rhône, la nature est partout en Isère : - 3 parcs naturels (Vercors, Chartreuse et Écrins) et la plus grande réserve naturelle de France (hauts plateaux du Vercors). - 150 Espaces Naturels Sensibles dont 19 ENS remarquables départementaux - de nombreux lacs (Paladru, Laffrey, Monteynard et ses passerelles himalayennes) et d’autres lacs, plus escarpés, comme le lac Achard, le lac du Crozet, le lac Blanc… - des stations d’altitude (l’Alpe d’Huez, les 2 Alpes, les 7 Laux, Chamrousse…) et de moyenne montagne
Le patrimoine culturel est tout aussi riche : la Bastille de Grenoble et ses bulles, le château de Vizille, le monastère de la Grande Chartreuse, Vienne et son théâtre antique, Saint Antoine l’Abbaye… sont autant de lieux emblématiques de l’Isère auxquels s’ajoutent 70 musées dont 11 musées départementaux gratuits ! Parmi eux, le musée Champollion, à Vif. Installé dans la propriété familiale des Champollion, il présente la vie et l’œuvre du célèbre égyptologue et une exposition temporaire à découvrir cet été « curieuses momies ». Du tourisme donc en Isère, mais aussi du sport, outdoor en particulier : les montagnes, partout environnantes, offrent un extraordinaire terrain de jeu pour les échappées cyclistes (sur route et pistes VTT), l’escalade ou les trails comme l’ultra trail de l’Echappée belle en aout. L’hiver, les RDV ski prennent le relais, avec la Foulée blanche, la Belle étoile notamment. Et puis, plus de 2 000 produits gastronomiques, sous la marque "Nos produits IS HERE" issus de l’agriculture iséroise et garantis d'une provenance locale, éthique et responsable.
Km 4.5
Km 4,5 : Jarrie (3 930 hab.) Paroisse de l'ancienne province royale du Dauphiné durant l'Ancien régime, la commune devenue iséroise lors de la création des départements, abrite le siège de la communauté de communes du Sud Grenoblois entre 2003 et 2013, puis rejoint la communauté de Grenoble-Alpes Métropole en 2014. Grâce à la présence sur son sol des sites industriels chimiques Arkema et Framatome, Jarrie s’est considérablement développée au XXe siècle et est aujourd’hui une petite ville aux portes de Grenoble. La mairie est installée dans l’ancien clos Jouvin, propriété d’une riche famille de gantiers grenoblois et y a monté un musée de la chimie, qui témoigne de l’importance de cette industrie dans l’histoire de la ville.
Château de Bon Repos
Construction : XVe siècle.
Style : médiéval.
Histoire : le château de Bon Repos est édifié vers 1470 par Guillaume Armuet. Il passe à la famille d'Auberjon de Murinais entre 1673 et 1811, puis des Costa de Beauregard. Au XIXe siècle, il change plusieurs fois de propriétaires avant d'être, en 1874, la possession du gantier Jules Jouvin. La dégradation du château s'accélère avec la chute du toit en 1917. Il est acheté par la commune de Jarrie en 1976. L'association du château de Bon Repos est créée en 1978 pour la restauration, l'animation et d'autres buts au sein du château.
Destination actuelle : il accueille désormais de nombreux visiteurs et spectacles en tous genres qu'ils soient donnés en extérieur ou à l'intérieur dans les caves. L'extérieur du château est accessible en permanence, l'intérieur est ouvert au public le troisième dimanche de chaque mois.
La petite histoire : en 2018, le château de Bon Repos a bénéficié du Loto du Patrimoine, en vue du rétablissement de la toiture et des fenêtres sur le logis principal.
Classement : inscrit Monument historique en 1986.
Km 6.7
Km 6,7 : Vizille (7 700 hab.)
Ancien oppidum ayant résisté aux Romains, la ville est dotée d'un premier château dès le haut Moyen Âge par les comtes de Grésivaudan mais la population dépend alors également des évêques de Grenoble contre lesquels elle s'insurge en 1378. Le 21 juillet 1788, faisant suite à la Journée des Tuiles (7 juin), des notables de la région de Grenoble organisèrent l'Assemblée de Vizille réunissant 50 prêtres, 165 nobles et 276 représentants du tiers état. L'assemblée réclame la réunion des États généraux et leur vote par tête. En 1815, c'est encore à Vizille que Napoléon de retour de l'île d'Elbe convainc les troupes royalistes de le rallier durant les Cent Jours. Entre-temps, les industries textiles et métallurgiques ont fait la prospérité de la ville où les usines bénéficient d'une eau abondante (énergie hydro-électrique) et de qualité tandis que le château devient au XXe siècle résidence de vacances des présidents de la République. Thierry Claveyrolat, meilleur grimpeur du Tour 1990, était surnommé « l’aigle de Vizille ». Vainqueur de deux étapes du Tour, il s’est donné la mort dans le village proche de Notre-Dame-de-Mésage.
Château de Vizille et musée de la Révolution française
Fondation : construit au XVe siècle.
Histoire : il est l’ancien château de François de Bonne (1543-1626), Duc de Lesdiguières, compagnon d’armes du roi de France, Henri IV, gouverneur de la province delphinale et dernier connétable de France ... puis bien plus tard, résidence des présidents de la République française avant d’être vendu au Conseil Général de l’Isère, en 1973. Fin XVIIIe siècle Claude Périer l’achète et installe une manufacture d’impression sur tissu. Il reçut dans sa salle de jeu de paume, le 21 juillet 1788, l’Assemblée des trois ordres de la province (réunion des États Généraux du Dauphiné), interdite de réunion à Grenoble. Les délibérations seront déterminantes dans l'amorce des évènements de 1789. Jusqu’en 1895, propriété́ des Périer, il passera par la suite de main en main pour finir dans celle de l’État en1924.
Destination actuelle : en 1983, préparant la célébration du bicentenaire, le musée de la Révolution française prit place dans plusieurs salles du château. Y sont regroupées des collections d'œuvres d'art, d'arts décoratifs et d'objets historiques. Un centre de documentation, bibliothèque, met à la disposition du public un fonds riche d'une vingtaine de milliers d'ouvrages.
Signes particuliers : le parc du domaine départemental de Vizille est le premier lieu touristique de l’Isère. Sur une centaine d’hectares, dessiné au XIXe siècle, il a été́ classé monument historique le 23 août 1991 avec le parc animalier et le musée de l’abeille.
Classement : classé Monument Historique en 1962 (château) et en 1991 (moulin).
Km 19.9
Km 19,9 : Livet-et-Gayet (2 100 hab.) Très marquée par son passé industriel, la commune en conserve les témoignages, comme la centrale électrique des Vernes, créée en 1917 par Charles-Albert Keller, seule centrale en France à être classée aux Monuments historiques. Aujourd’hui, Livet-et-Gavet se reconvertit pour concilier production hydro-électrique et tourisme vert.
Barrage de Romanche-Gavet
Fondation : érigé au XXIe siècle (Octobre 2020).
Caractéristiques : barrage mobile à clapets. La centrale de Gavet, en grande partie souterraine, occupe deux vastes cavités artificielles creusées dans la roche de la chaîne de Belledonne : une de 70 m de long, 25 m de large et 36 m de haut qui accueille les équipements hydrauliques. Elle est équipée de deux turbines de type Francis représentant une capacité de 97 MW. Cet aménagement livré en 2020 remplace plusieurs usines construites en cascade sur la Romanche au début du XXe siècle.
La petite histoire : Le barrage est équipé d'une échelle à poissons de 24 bassins successifs permettant aux poissons de gravir les 6,3 mètres de dénivelé de l'ouvrage d'art. Elle rétablit la continuité piscicole de la rivière.
Mémorial du Maquis de l’Oisans Le 22 juin 1940, le gouvernement français signe l’armistice. Le 30 novembre 1942 toute la France est occupée ... L’instauration du Service du travail obligatoire (STO) pousse de nombreux jeunes gens à prendre le maquis. La Résistance dans les Alpes s’organise,et émergent en Isère les maquis du Vercors (en décembre 1942), de la Chartreuse, du Grésivaudan, de l’Oisans. Ce dernier, incluant Grenoble, naît au début de l’année 1944. Il se compose de 1 526 volontaires, hommes et femmes, (divisés en 5 groupes mobiles) sous le commandement du Capitaine Lanvin. L’armée allemande craignant un débarquement proche des Alliés en Provence envisage un repli en Italie. Une troupe d’élite des chasseurs alpins de la 157e division alpine bavaroise Alpenjager, arrive en renfort en Oisans où les routes sont devenues stratégiques. Le maquis de l’Oisans semble bien démuni face à cette armée entrainée. Lanvin va retourner la situation en faisant des faiblesses de son groupe un avantage… mettant en pratique la tactique de la guérilla. Le 14 août 1944, le combat est rude, ce sera un des rares combats victorieux d’un maquis Français face aux Allemands. À l’approche des Américains, les Allemands commencent à se replier vers Grenoble. Encerclés à Vizille, ils se rendent au maquis de l’Oisans. En parallèle, la Résistance grenobloise reçoit l’ordre de libérer Grenoble. C’est chose faite le 22 août au matin.
Km 32.5
Km 32,5 : Bourg-d’Oisans (3 500 hab.)
Jadis établie au bord d’un lac disparu, la ville est connue des amateurs du Tour comme le point de départ de la montée vers l’Alpe d’Huez. Réputée pour son ardoise, ses minerais et ses colporteurs, c’est une station alpine d’où sont originaires l’ancienne championne de slalom Fabienne Serrat et l’ancienne championne olympique de snow-board Isabelle Blanc. Le Bourg-d’Oisans a accueilli le Tour de France à vingt reprises, pour dix-neuf départs et seulement une arrivée (1966). En 2018, le peloton s’était élancé de la commune en direction de Valence, où Peter Sagan l’avait emporté. En raison de sa position, Bourg d’Oisans est également le point de départ de nombreuses cyclosportives, dont certaines comptent parmi les plus populaires au monde.
Le parc national des Écrins Le territoire du parc national des Écrins (91 800 ha), créé en 1973, s'étend entre les villes de Gap (12 kilomètres à vol d'oiseau), Briançon (13 kilomètres) et Grenoble (23 kilomètres). Il est délimité par les vallées de la Romanche, la Guisane, la Durance et le Drac. C’est en Oisans que le projet du parc a vu le jour dès 1913 avec l’achat par l’État de 4 000 ha de montagne au-dessus de Saint-Christophe-d’Oisans. Le parc national des Écrins est l’un des dix parcs nationaux français et a été distingué par le Conseil de l’Europe comme Parc européen de la haute montagne.
Km 33.5
Km 33,5 : Allemond (1 000 hab.) Le bourg abritait jadis une fonderie royale utilisant le minerai extrait des mines locales (argent notamment). Dans les années 70, le barrage de Grand-Maison apporta une nouvelle prospérité au village. Au hameau du Rivier (km 59) se trouve un musée consacré au bouquetin et à l’accident au-dessus du village de l’avion du Maréchal Trafford Leigh-Mallory, le plus haut gradé militaire allié tué pendant la Seconde Guerre mondiale.
Km 39.6
Km 39,6 : Barrage du Verney Le Barrage du Verney a été construit et exploité à ses débuts par la Société hydroélectrique de l'Eau d'Olle, fondée à Lancey en 1907 par Maurice Bergès, fils d'Aristide Bergès, maire de Villard-Bonnot. Le barrage, d'une puissance de plus de plus de 16 000 CV, a été à l'origine de la construction dès 1909 de la première ligne à haute tension de 60 000 volts entre Grenoble et Saint-Chamond, l'un des premiers grands équipements électriques du pays.
Km 55.8
Km 55,8 : Vaujany (350 hab.) Barrage et lac de Grand-Maison
Situation : barrage français à enrochements (avec noyau en terre), situé entre les massifs de Belledonne et des Grandes Rousses (Isère).
Altitude : 1 698 m (côte maximale théorique du lac de retenue).
Construction : édifié au XXe siècle.
Histoire : les travaux de construction ont commencé en 1978, (fin en 1985) et la mise en service eut lieu en 1988.
Caractéristiques : le barrage d’un volume de 12 900 000 m3, ferme la vallée de l’Eau d’Olle sur une longueur de 560 m. D’une hauteur de 160 m au-dessus des fondations, son épaisseur à la base est de 650 m dont 100 m constitue le noyau étanche. Capacité du réservoir : 140 millions de m3 d’eau.
SAVOIE (73)
Région : Auvergne Rhône-Alpes
Population : 442 500 habitants
Superficie : 6 028 km²
Nombre de cantons : 19
Nombre de communes : 273
Préfecture : Chambéry (59 629 hab.)
Sous-préfectures : Albertville, St-Jean-de-Maurienne
Spécialités : Raclette, tartiflette, fondue, crozets (pâtes en forme carré, à base de farine de sarrasin…), diots et pormoniers, (saucisses de porc cuisinées au vin blanc), Saint-Genix (brioche aux pralines rouges), gâteau de Savoie, truffes en chocolat, bugnes (beignets), génépi (liqueur de plante des montagnes), fromages de Savoie (Tome des Bauges, Beaufort.)
Sport : Chambéry Savoie Mont Blanc Handball (D1), équipe AG2R-Citroën (cyclisme), Aix Maurienne Savoie Basket (ProB).
Evénements : Championnats du monde de ski alpin Courchevel-Méribel 2023, Championnat du monde de VTT-Les Gets, août 2022. JO d’hiver d’Albertville 1992, JO d’hiver 2030.
Patrimoine : abbaye de Hautecombe (berges du lac du Bourget), château des ducs de Savoie, (Chambéry), forts de la barrière de l’Esseillon (Haute Maurienne), parc national de de la Vanoise, parcs naturels régionaux des massifs des Bauges et de la chartreuse, lac du Bourget, lac d’Aiguebelette, etc.
Économie : tourisme, agroalimentaire, éco-industries, industries de la montagne, matériaux composites, technologies de l’information et de la communication, travail des métaux
Culture : Musilac à Aix-les-Bains, Les Estivales en Savoie à Chambéry, Le Grand Bivouac à Albertville, Le festival du Cinéma européen des Arcs
Sites Web et réseaux sociaux : www.savoie.fr / https://www.facebook.com/SavoieDepartement / https://twitter.com/SavoieDepart / https://www.savoie-mont-blanc.com / https://www.facebook.com/savoiemontblancFR/ @savoiemontblancFR / https://twitter.com/SavoieMontBlanc / @SavoieMontBlanc #SavoieMontBlanc / https://www.pinterest.fr/savoiemontblanc/ / https://www.instagram.com/savoiemontblanc/ / https://www.youtube.com/user/SavoieMontBlanc
Km 62.3
Km 62,3 : col du Glandon (1 924 m) Il relie la vallée de la Romanche à celle de la Maurienne. Il est voisin du col de la Croix-de-Fer, auquel il est relié depuis 1912. Le col du Glandon a été franchi au total à 15 reprises par le Tour de France. Le versant nord est classé hors catégorie et le versant sud en 1e catégorie, sauf à l'occasion des éditions 2013 et 2015 où il est également hors catégorie. Le dernier coureur passé en tête, en 2015 a été Romain Bardet, immédiatement avant d’aller lever les bras pour la première fois sur le Tour, à Saint-Jean-de-Maurienne. Le Glandon a également figuré au parcours du Tour de France Femmes avec Zwift lors de l’étape de l’Alpe d’Huez 2024 : l’Autrichienne Valentina Cavallar était passée en tête.
Km 70.2
Km 70,2 : Saint-Colomban-les-Villards (190 hab.) Voilà les deux villages de la Vallée des Villards : Saint-Colomban et Saint-Alban des Villards. Idéalement située l’hiver, la Vallée des Vilards est la première porte d’accès aux Sybelles, un des grands domaines skiables français avec 310 km de pistes.
Km 81.1
Km 81,1 : Saint-Etienne-de-Cuines (1 250 hab.)
Gros bourg situé à l’entrée de la très belle vallée des Villards et son col du Glandon, Saint-Étienne-de-Cuines, dans son passé lointain, a eu un destin mouvementé avec la puissante famille des Cuines. Essentiellement agricole et pastorale, la commune connut un essor économique exceptionnel à partir de 1884, grâce à la transformation d’un moulin en fabrique de pâtes alimentaires La Lune, de renommée internationale. L’usine Bozon-Verduraz a employé jusqu’à sept cents ouvrières et ouvriers. Sur les hauteurs, la Maison forte de Gruyère et la Maison forte du Châtelet rappellent l’ancienne puissance de Saint-Étienne.
Château du Châtelet
Construction : XVe siècle.
Histoire : cette grande demeure appartenait en 1488 à Guillaume de Montmayeur, maître d'hôtel du comte de La Chambre, et passa à Louis de Mareschal-Luciane qui avait épousé sa fille Laurence. Leur héritier fut Antoine, allié au bâtard de Gruyère, leur voisin. Le châtelet passa par successions ou ventes à différentes familles nobles de la région. Après la guerre de 1914-1918 il appartint à un exploitant de carrières, puis il fut acquis par la commune, et transformé en colonie de vacances avant d’être vendu. L'édifice domine le bourg, au-dessus de l'église.
Km 84.8
Km 84,8 : La Chambre (1 150 hab.) Avec ses 1 200 habitants, cette petite ville, chef-lieu de canton offrant une multitude d’activités, est située sur l’axe routier des célèbres grands cols de la Madeleine et du Glandon et à proximité des stations des sports d’hiver et d’été. Au fil des années, elle a su développer en harmonie commerces, industrie (usine de pétrochimie ARKEMA), agriculture et privilégier un cadre de vie très agréable grâce au fleurissement couronné en 2014 par une Première Fleur au concours des « Villes et Villages fleuris ».
Km 104.6
Km 104,6 : col de la Madeleine À 2 000 mètres d’altitude, le Col de la Madeleine relie la vallée de la Tarentaise à la Maurienne. Classé hors catégorie, c’est un classique du Tour de France, qui l’a franchi à 26 reprises depuis 1969. Lucien Van Impe et Richard Virenque sont tous deux passés en tête au sommet à trois reprises, ce qui résume assez bien la difficulté de l’ascension. Lors du dernier passage du Tour sur ses pentes, en 2018, c’est Julian Alaphilippe, alors à la conquête du maillot à pois, qui s’était présenté en tête.
Km 113.7
Km 113,7 : La Léchère (1 820 hab.) Au cœur des vallées, à proximité du vieux bourg d'Aigueblanche, la station thermale de La Léchère, née au début du XXe siècle, permet cures et remise en forme. Elle est située idéalement à 15 km de Valmorel, de Doucy-Combelouvière et de Naves et à proximité de toutes les grandes stations de ski de la Tarentaise. La commune est née en 1972 de la fusion des villages de Notre-Dame-de-Briançon, Pussy, Celliers, Petit Cœur, Doucy et Naves.Occupée dès l’ère romaine, elle prospère au Moyen âge grâce au château de Notre-Dame-de Briançon, d’où les seigneurs de Briançon contrôlaient l’une des vallées les plus fréquentées des Alpes. Au milieu du XIXe siècle, l’industrie chimique se développa jusqu’à la découverte fortuite, en 1869, des eaux qui font aujourd’hui le renom des Thermes de la Léchère. La Léchère accueillait en 1992 le centre de presse des Jeux olympiques d’Albertville. Les Jeux permirent à la ville de se doter des équipements qui en font aujourd’hui une destination touristique prisée, thermale et sportive.
Km 133.6
Km 133,6 : Grand-Aigueblanche (3 800 hab.)
La commune est issue de la fusion d'Aigueblanche, du Bois et de Saint-Oyen en 2019. Aigueblanche tire son nom des eaux mouvementées du Morel, aujourd’hui canalisées en une belle cascade. Dans les prières de la Tarentaise, on disait autrefois : « Mon dieu, préservez-moi des eaux du Morel, de Mandrin et de ses drôles ». Aujourd’hui le Morel est un paisible torrent de montagne, une des merveilles des Alpes, selon les connaisseurs. Pourtant, il fut, pendant des siècles, l’un des plus redoutables torrents de Savoie. Les hommes ont dû déployer ardeur et ingéniosité pour se protéger des ravages de ce torrent. Un ouvrage colossal d’1 km de long a été nécessaire pour les endiguer. Aujourd’hui, un chemin de promenade a été aménagé. Parmi le patrimoine architectural, deux anciennes maisons fortes, le manoir d’Aigueblanche (XIIIe siècle), au centre du bourg, et la maison forte de Bellecombe (XIVe) sur la route de Moûtiers. Mais aussi la belle église baroque Saint-Martin de Villargerel.
Église Saint-Martin de Villargerel
Construction : XVIIe siècle.
Style : baroque.
Histoire : construite à partir de 1682 par un maître maçon, Jean Meilleur, sur les plans de l'architecte Nicolas Deschamps, l'église présente un plan centré en « croix grecque ». Trois absides polygonales et un porche en pierre forment le reste de l'édifice. Jacques Clérant, sculpteur de Chambéry, compose en 1707 le retable majeur qui se compose de six colonnes divisant les différentes parties du triptyque. Le centre de ce retable est orné d'un tableau qui représente la Crucifixion.
Destination actuelle : l’église Saint-Martin de Villargerel accueille des concerts classiques dans le cadre des « Chemins du Baroque », rendez-vous culturel estival pour la mise en valeur du patrimoine.
Classement : classée Monument historique en 1943.
Km 139.5
Km 139,5 : Salins-Fontaine (960 hab.) Issue de la fusion en 2016 des communes de Salins-les-Thermes et de Fontaine-le-Puits. Dominé par les ruines du château de Melphe, Salins-les-Thermes est une station thermale spécialisée dans le traitement des rhumatismes et de l’arthrose. Ses eaux sont réputées être plus riches en minéraux que l’eau de la mer Morte.
Km 141.3
Km 141,3 : Les Belleville (2 500 hab.)
Commune née en 2016 de la fusion des communes de Saint-Martin-de-Belleville et de Villarlurin. Les stations de ski de Val Thorens, les Ménuires et Saint-Martin-de-Belleville dépendent administrativement des Belleville. La commune conserve un joli patrimoine baroque, dont le fleuron est la chapelle Notre-Dame-de-la-Vie, classée Monument historique en 1949.
Km 144.2
Km 144,2 : Brides-les-Bains (510 hab.)
Cité thermale reliée aux 3 Vallées par une télécabine, Brides-les-Bains combine avec élégance le meilleur du ski avec les meilleures prestations de bien-être en montagne. Les 600 kilomètres de pistes offrent un ski plaisir itinérant pour tous niveaux. Station thermale, leader de l'amaigrissement en France, c'est un village où soins et diététique se conjuguent pour obtenir de vrais résultats. Avec son spa thermal récemment rénové et agrandi, Brides constitue en toute saison, une bulle de bien-être aux portes du parc national de la Vanoise. Site du village olympique pendant les Jeux d’Albertville en 1992, Brides-les-Bains a pu profiter des infrastructures nouvelles pour se développer. En 2019, Brides-les-Bains a été le point de départ d’une étape en côte du Tour de l’Avenir jusqu’à Méribel, enlevée par l’Australien Alexander Evans.
Km 144.2
Km 144.2: Brides-les-Bains (Pop: 510)
A spa town linked to the 3 Vallées by a cable car, Brides-les-Bains elegantly combines the very best in skiing with the very best in mountain wellness. The 600 kilometres of pistes offer skiing pleasure for all levels. A spa resort and France's leading slimming centre, Brides-les-Bains is a village where health care and dietetics combine to achieve real results. With its recently renovated and enlarged thermal spa, Brides is a bubble of well-being at the gateway to the Vanoise National Park, whatever the season. As the site of the Olympic Village during the Albertville Games in 1992, Brides-les-Bains was able to take advantage of the new infrastructure to develop. In 2019, Brides-les-Bains was the starting point for an uphill stage of the Tour de l'Avenir to Méribel, won by Australian Alexander Evans.
Km 1.8
Km 1.8: Champ-sur-Drac (Pop: 3,340)
Built in the 12th century by the Allemand family, Champ-sur-Drac castle, a Catholic bastion, was burnt down by Lesdiguières and dismantled, with the exception of the tower, in 1587 during the Wars of Religion. The tower survived the fire and still dominates the village from its rocky outcrop. Its coat of arms is the symbol of Champ-sur-Drac. It evokes the past (with the tower) and the future (with the wheel of industry). Near the castle, the church of Saint-Blaise boasts a comb-shaped bell tower (very rare in the Dauphiné), which is listed as a historical monument. In 1992, the locals got together to open the Musée d'Autrefois (Museum of Yesteryear), a rich testimony to the history of Champ-sur-Drac and the Navarre paper mills, an industrial saga inseparable from the town's identity.
Km 96.5
Km 96,5 : Saint-François-Longchamp (460 hab.) La première station de ski de la Maurienne surprend par un magnifique environnement montagnard en découvrant d'exceptionnels paysages avec, entre autres, un superbe point de vue du Mont Blanc jusqu'aux Ecrins à partir du Col de la Madeleine (2 000 m) et la possibilité d'admirer, à la hauteur de Saint-François-Longchamp 1450, les Cheminées des fées, phénomène d'érosion naturelle rare dans cette région. Ces grands espaces donnent une sensation profonde de liberté et d'oxygénation. Ici, les passionnés de glisse trouvent leur bonheur dans l'étendue et la variété du domaine skiable.
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