RÉGION SUD PROVENCE-ALPES-CÔTE-D’AZUR

Départements : Alpes de Haute-Provence, Hautes-Alpes, Alpes-Maritimes, Bouches-du-Rhône, Var, Vaucluse.

Population : 5,1 millions hab.

Préfecture : Marseille

Superficie : 31 400 km2

Spécialités : cuisine méditerranéenne, pizza, pissaladière, panisses, chichis, bouillabaisse, petits farcis, alouette sans tête, pieds et paquets marseillais, salade niçoise, pan bagnat, gardiane de taureau, oursins, poissons (dorades, loups, rougets, denti, marbrés, pageots, pagres, sars), vins (rosés de Provence, côtes de Provence, côtes du Rhône, Palette, Bandol…) Clubs sportifs : Olympique Marseille, OGC Nice (football), Rugby Club Toulon. Cercle desNageurs de Marseille (natation).

Compétitions : coupes du monde de football, Euro 2016 de football, coupe du monde de rugby, tests matchs de rugby, Tour de France cycliste, Paris-Nice, GP La Marseille, Classique Haribo, Tour du Haut-Var, Tour de la Provence, beach volley, beach football, rugby à Toulon. Mondial à pétanque à Marseille. 

Sites touristiques : plages et stations balnéaires (Saint-Tropez, Nice, Saint-Raphaël, Fréjus, Cassis, Bandol etc..), Palais des Papes à Avignon, Arles (arènes, vestiges romains), Marseille (Vieux Port, Panier, calanques, château d’If, Mucem), Nice (Promenade des Anglais, vieux Nice, vieux port), Mont Ventoux, Cannes, stations de ski des Hautes-Alpes et des Alpes maritimes (Serre-Chevalier, Le Sauze, Orcières-Merlette, Isola 2000), Briançon (citadelle), Aix-en-Provence.

Économie : 7% du PIB français, 3e région en France, 16e en Europe. Agriculture (vins maraîchage), tertiaire (80%), universités (Aix-Marseille première université de France, Nice, Toulon), ports (Marseille, La Ciotat, Nice), pétrochimie (Fos), logistique, aéroports de Nice et Marseille, tourisme.

Festivals : festival de Cannes (Cinéma), festival d’Avignon (théâtre), chorégies d’Orange, festival d’Aix en Provence (art lyrique), jazz à Nice, Festival de Marseille (danse). Midem (Cannes), Marsatac (Marseille), Fiesta des Suds (Marseille), Plages électroniques (Cannes), Rencontres d’Arles (photographie).

Site web www.maregionsud.fr

TOURISME À VELO
Contenu fourni par le réseau Vélo & Territoires

Des plus hautes cimes du Mercantour aux rivages bleu azur de la Méditerranée, la Métropole Nice Côte d’Azur offre un terrain de jeu d’exception pour la pratique du vélo en toutes saisons et sous toutes ses formes. Près de 40 circuits vélo sur route labélisés FFC et pour tous niveaux de pratique sont proposés à partir de 8 points de départ, permettant de partir à la découverte des multiples facettes du territoire et de ses richesses patrimoniales. Les cyclotouristes pourront ainsi gravir les cols mythiques du Tour de France et de Paris-Nice, dans les pas des grand champions cyclistes du passé mais aussi du présent puisqu’une bonne partie du peloton professionnel réside dans la région à l’année !

 

ALPES-MARITIMES (06)

Préfecture : Nice

Sous-préfecture : Grasse

Population : 1 103 941 hab.

Superficie : 4 299 km2

Spécialités : pissaladière, fougasse, socca, brissaouda, tapenade, salade niçoise, pan bagnat, porchetta niçoise, trulle, ratatouille, daube niçoise, bellet (vin)

Économie : tourisme (64 000 emplois), deuxième aéroport de France, parfumerie à Grasse, nouvelles technologies à Sophia-Antipolis, centre spatial de Cannes-Mandelieu.

Sport : OGC Nice, AS Cannes (football). Olympique Antibes (basket). Olympic Nice Natation. Paris-Nice cycliste, Ironman de Nice. Rallye de Monte-Carlo. Open de Nice.

Culture et patrimoine : Festival de Cannes, Festival de jazz de Juan-les-Pins, Nice Jazz Festival, carnaval de Nice, festival du livre de Mouans-Sartoux. Promenade des Anglais à Nice, Croisette à Cannes, Saint-Paul-de-Vence, musée Matisse, Fondation Maeght, parfumerie à Grasse, îles de Lérins, parc national du Mercantour.  

Site Internet : www.departement06.fr

Km 1.4

LA TRINITÉ (10 000 HAB.)

Construite le long de la rivière du Paillon, La Trinité est une commune industrialisée de la banlieue niçoise, avec un habitat moderne et dispersé. Ancien hameau de la commune d’Èze dont elle fut détachée en 1818, elle fut baptisée La Trinité-Victor en l’honneur de Victor-Emmanuel Ier, roi de Sardaigne, avant de devenir La Trinité en 1951. La commune possède une église de style néo-classique, une fontaine datée de 1654, des places tranquilles, quelques façades colorées repeintes de couleurs pimpantes… et même les ruines d’un château médiéval. Il faut emprunter le vieux chemin de Laghet pour découvrir les restes d’une tour de garde et d’un pont-levis, tous deux datant du XIe siècle. Le sanctuaire Notre-Dame de Laghet est un monastère qui fut construit au XVIIe siècle après l’apparition de miracles en ce lieu. Cette réputation miraculeuse ne fit que croître, jusqu’à devenir l’un des principaux centres de pèlerinage de Provence orientale et d’Italie du nord. Le sanctuaire est même surnommé le « petit Lourdes niçois » !

 

Km 24.7

COL DE BRAUS (1 002 M)

Généralement classé en deuxième catégorie, le col de Braus a été franchi 27 fois par le peloton depuis 1911, lorsqu’Émile Georget s’était présenté en tête. Le Tour de France n’y est toutefois plus revenu depuis 1961. Au col, une stèle rend hommage à un régional, le fantasque René Vietto, passé en tête en 1934.

Km 35.9

 SOSPEL (3 800 HAB.)

Bourg médiéval aux portes du Parc du Mercantour, Sospel est célèbre pour son pont vieux à péage. Fait rare pour être souligné, ce type de pont est l’un des derniers d’Europe. Outre cette curiosité historique, Sospel bénéficie d’un environnement naturel assez remarquable. Blotti sur les bords de la Bévéra, le village médiéval se situe à seulement 20 kilomètres de Menton, à une altitude d’environ 350 mètres. Idéalement située pour voir arriver l’ennemi, elle joua un rôle stratégique dans l’histoire. Son importance s’amplifia par la création de l’Académie des Occupés Littéraires en 1702 où plusieurs historiens, chroniqueurs et poètes s’illustrèrent. Elle fut bien sûr un lieu de passage de la route du sel. La Seconde Guerre mondiale faillit bien la dévaster. Mais Sospel se releva et arbore encore aujourd’hui fièrement son riche patrimoine historique, avec pas moins de dix-sept édifices classés.  

Pont Vieux

Construction : XIIIe siècle.

Histoire : certainement le symbole et l’endroit le plus romantique de la ville. Ce pont fortifié enjambe la Bévéra qui coupe en deux parties la ville. Il fut bâti au début du XIIIe siècle sans doute en bois puis reconstruit en pierre en 1522. Les deux arcs ont apparemment été remplacés en 1823. Selon la tradition sa tour centrale aurait servi de poste de péage entre le Piémont et la Méditerranée sur la fameuse Route royale du Sel entre Nice et Turin. Ses deux arches asymétriques permettaient à un système de canalisation d’acheminer l’eau vers les quartiers de la rive gauche. Faisant le lien entre les deux rives de la Bévéra, sa tour servit d’habitation et abrita divers commerces jusqu’en 1960. Il fut entièrement restauré par les Beaux-Arts en 1953 avec des matériaux utilisés sur place, après les dommages causés en octobre 1944 lors des combats pour la libération de la vallée.

Destination actuelle : il abrite actuellement dans sa tour le Cercle d’étude du patrimoine et de l’histoire de Sospel.

Classement : classé depuis 1924. 

Co-cathédrale Saint-Michel

Construction : XVIIe siècle.

Style : roman et baroque.

Histoire : en 1229, la population de Sospel est répartie entre trois paroisses, dont celle de Saint-Michel. L’église possède un clocher roman lombard qui a subsisté à la destruction de l’église romane. Il comprend un haut soubassement de la fin du XIIe siècle percé dans sa partie supérieure par une baie étroite et haute sur les faces. Il est surmonté par deux étages se terminant par une flèche pyramidale qui doit être du premier tiers du XIIIe siècle. L’église devient cathédrale en 1378 quand la ville prend parti pour le pape d’Avignon contre l’antipape de Rome, pendant le grand schisme d’Occident, jusqu'en 1411. Lors de l’épidémie de peste de 1632, la population de Sospel fait le vœu de reconstruire l’église. Elle est reconstruite à partir de 1641 sur les plans de l’architecte niçois Jean-André Guiberto qui a construit la cathédrale Sainte-Réparate de Nice. La construction a duré jusqu’en 1672. Des embellissements portant sur le second étage de la façade de l’église et son fronton sont faits en 1762. Cette église, par ses dimensions, est la plus grande des Alpes-Maritimes. L’église a été restaurée en 1888 à la suite du tremblement de terre du 23 février 1887 qui a secoué la Provence orientale et la Ligurie.

Classement : Monument historique depuis 1951.

Km 59.8

COL DE TURINI (1 604 M)

Rendu célèbre par le rallye de Monte-Carlo, le col de Turini a figuré à quatre reprises sur le parcours du Tour de France et a, à chaque fois, permis à un grimpeur de talent de s’exprimer. En 1948, c’est Louison Bobet qui passait en tête. Deux ans plus tard, c’est un autre Breton, Jean Robic, qui pointait le premier au sommet. En 1973, le premier à le franchir fut l’Espagnol Vicente Lopez-Carril, vainqueur ce jour-là à Nice. Lors de l’édition 2019 de Paris-Nice, les Colombiens avaient été à l’honneur puisque Daniel Martinez l’avait emporté tandis qu’Egan Bernal s’emparait du maillot de leader pour ne plus le lâcher. Dans le Tour 2020, c’est Anthony Perez qui montrait la voie et en 2022, c’est Primoz Roglic qui s’y était détaché dans Paris-Nice pour remporter la Course au Soleil.

Km 71.3

 LA BOLLÈNE-VÉSUBIE (580 HAB.)

Au pied de la route menant au col du Turini, La Bollène-Vésubie a une vocation touristique depuis la fin du XIXe siècle pour son bon air, les innombrables randonnées dont le village est le point de départ et la petite station de sports d’hiver installée sur les pentes du massif. Le village est aussi remarquable pour les éléments de la ligne Maginot installés sur la commune et notamment l’ouvrage de Flaut ou la forteresse de l’Authion, engagés dans les combats contre l’Italie en juin 1940. Dans le village, le musée des papillons, installé dans l’ancienne chapelle des pénitents blancs, expose une importante collection d’insectes. En janvier, La Bollène est un passage obligé du rallye de Monte-Carlo. 

Km 77

ROQUEBILLIÈRE (1 840 HAB.)

Le nom du village, mentionné dès le XIIe siècle, signifie « rocher aux abeilles ». L’ancien village, détruit par un premier éboulement en 1564, le fut à nouveau partiellement en 1926. Le village actuel a été reconstruit en face, sur la rive droite de la Vésubie. Roquebillière est surtout connu pour sa petite station thermale, la seule de toute la Côte d’Azur. Ville d’eau depuis les Romains, sa vogue s’affirma à nouveau vers 1850.  Son église, Saint-Michel de Gast, est du XIVe et de pur style gothique.

Km 86.5

SAINT-MARTIN-DE-VÉSUBIE (1 410 HAB.)

Aux portes du Parc national du Mercantour, entre les vallées du Boréon et de la Madone de Fenestre, au milieu de 3 600 hectares de forêts, ce beau village, à 975 m d’altitude, offre une palette de traditions et de loisirs de pleine nature. Remonter lou Bial, un canal au cœur du village permet de découvrir le centre médiéval, puis différentes maisons de maître de la fin du XVIIIe et du début du XIXe siècles. Il reste d’importantes traces médiévales dans le cœur du village, autour de l’église de la Madone de l’Assomption. Site du Château, ruelles étroites, portes voûtées, maisons médiévales à colombages. Aujourd’hui encore, d’importants vestiges des remparts (XIVe-XVIe siècles) entourent la façade ouest du village, dont l’accès est rendu possible par la monumentale porte Sainte-Anne. Plusieurs sites historiques sont à découvrir : la Maison du Coiffeur, typique maison médiévale alpine ; la place de la Frairie où se déroulaient les grandes assemblées et qui accueille aujourd’hui de nombreuses manifestations ; Palais Gubernatis, maison-forte aristocratique de la Renaissance, qui contrôlait le commerce du sel entre le Piémont et Nice ; l’église paroissiale, édifice baroque de la fin du XVIIe siècle, qui offre encore quelques détails architecturaux des bâtiments antérieurs romans et gothiques aujourd’hui disparus. Son principal trésor est la statue sacrée de la Madone de Fenestres, portée en procession au Sanctuaire au début de l'été et ramenée pour l’hiver. L’important patrimoine religieux de Saint-Martin-Vésubie est complété par la chapelle des Pénitents noirs, bijou de l’art baroque populaire alpin, et la chapelle de la Sainte-Croix ou des Pénitents blancs, sur la place du Marché. Récemment restaurée et mise en lumière, elle présente aujourd’hui aux visiteurs son clocher à bulbe de cuivre, de style génois comme un point de ralliement. Le passé du village est exposé dans l’ancien musée communal. Le 2 octobre 2020, lors de la tempête Alex, le torrent Boréon et les rivières Vésubie et Tinée montent de 7 à 8 mètres au-dessus des niveaux habituels, ce qui provoque de nombreux dégâts matériels à Saint-Martin-Vésubie, dont l’effondrement du Pont Maïssa qui franchissait le Boréon, l’emportement de la station-service, de la caserne des pompiers, d’une partie de la zone artisanale et de la gendarmerie du village.  

Parc national du Mercantour

Le Parc national du Mercantour est un espace naturel protégé qui offre une incroyable diversité de paysages, de faune et de flore : plus de 2 000 espèces de fleurs y sont en effet recensées. Il borde le parc italien des Alpi Marittime avec lequel il est jumelé. Dans la vallée de la Vésubie, la nature règne sur le massif cristallin. Point culminant du département, le Gélas domine des vallées verdoyantes et forestières qui abritent une faune exceptionnelle ! En passant par la Gordolasque, on atteint la Vallée des Merveilles dont le paysage glaciaire impressionnant, parsemé de couleurs irréelles, enchantera les passionnés de la montagne en dévoilant au travers des gravures rupestres les secrets de ce site mystérieux. Le Parc naturel européen Alpi Marittime - Mercantour est engagé dans un processus de classement de son territoire au Patrimoine Mondial de l’Humanité de l’Unesco. La Maison du Parc national, au centre de St-Martin-Vésubie, propose des animations, expositions et des outils de découverte du milieu naturel.

Km 95.4

VALDEBLORE (860 HAB.)

Le nom de Valdeblore désigne à la fois la vallée d’origine glaciaire reliant perpendiculairement les vallées de la Vésubie et de la Tinée, et la commune aujourd’hui constituée de trois agglomérations, La Bolline, La Roche et Saint-Dalmas, et d'un hameau, Mollières. Depuis la fin du Moyen Âge, l’histoire de la communauté est liée à l’existence du prieuré bénédictin de Saint-Dalmas. En 1860, l’annexion du comté de Nice à la France ne fut obtenue que moyennant un nouveau tracé de la frontière laissant à l’Italie une partie des territoires des communes du haut-pays, ce qui fut le cas de Valdeblore. En 1947, le traité franco-italien permit de régulariser la frontière. Entre-temps, la commune avait connu un début d’essor touristique, comme station d’été mais aussi dans le domaine des sports d’hiver avec la Colmiane. À partir de 1960, l’importance économique de la station grandit, compensant en partie l’exode des populations rurales vers le littoral. De son important patrimoine religieux, l’édifice le plus remarquable est l’église de Sainte-Croix à Saint-Dalmas, édifiée au tout début du XIe siècle par des moines bénédictins.

Km 95.9

COL DE LA COLMIANE (1 503 M)

Le col de la Colmiane, ou col Saint-Martin, relie la vallée de la Tinée à la vallée de la Vésubie. Il a déjà été franchi à trois reprises par les coureurs du Tour de France : en 1973, avec Pedro Torres en tête ; en 1975, lorsque Lucien Van Impe s’était présenté le premier au sommet dans cette étape jusqu’à Pra-Loup marquée par la défaillance d’Eddy Merckx et la victoire de Bernard Thévenet ; puis en 2020, c’est Benoît Cosnefroy qui ouvrait la route. En 2017, le col de la Colmiane marquait l’arrivée de l’avant-dernière étape de Paris-Nice, remportée par Simon Yates. Le Britannique s’était alors emparé du maillot de leader avant de le perdre pour quatre secondes à Nice au profit de Marc Soler. En 2021, Primoz,Roglic s’y imposait devant le regretté Gino Mader, avant de lui aussi perdre le Maillot Jaune après trois chutes dans la dernière étape.

Km 97.6

SAINT-DALMAS 

Église de l’Invention de la Sainte-Croix

Construction : XIIIe et XVIIIe siècle.

Style : roman.

Histoire : l’église est mentionnée en 1060. Elle est alors un ancien prieuré de l’abbaye San Dalmazzo da Pedona, située à Borgo San Dalmazzo, en Italie. L’église était alors dédiée à saint Dalmas. Les cloches sont classées monuments historiques au titre des objets mobiliers. Des découvertes archéologiques ont permis de dégager, dans les absidioles et la nef, des vestiges de peintures murales semblant dater du XIIe siècle.

Classement : Monument historique depuis 1943.

Km 116.1

SAINT-SAUVEUR-DE-TINÉE (300 HAB.)  

Église Saint-Michel

Construction : XVIe et XVIIe siècle. 

Style : gothique et baroque.

Histoire : d’une église construite au XVIe siècle, il ne subsiste que la travée gothique et le clocher coiffé d’une flèche pyramidale daté de 1532. L'église a été reconstruite au XVIIe siècle, probablement à cause de guerres.

Classement : Monument historique depuis 1939.

Nice

 

Imprégnez-vous de la Côte d'Azur à Nice et profitez d'une véritable fête des sens. Avec pour toile de fond des eaux azurées et un soleil doré, ce joyau de la côte capture l'essence du glamour balnéaire.

Les rues étroites de la vieille ville sont pleines de charme historique, et à chaque tournant vous trouverez quelque chose de fascinant, des boutiques élégantes aux marchés locaux animés. Une promenade le long de l'emblématique Promenade des Anglais s'impose, mais pour voir la ville sous un angle différent, montez sur la Colline du Château, où des vues panoramiques encadrent l'architecture éclectique de Nice et le littoral époustouflant.

Qu'il s'agisse de se prélasser sur des plages étincelantes, de savourer les senteurs des produits frais au marché animé du Cours Saleya ou d'explorer la richesse culturelle de la ville, Nice promet une escapade enchanteresse. Que vous souhaitiez vous plonger dans la culture ou simplement vous évader et vous détendre, Nice est une destination vraiment inspirante, où chaque expérience est baignée dans la chaleur du charme méditerranéen.

En savoir plus sur lastminute.com

Col de la Couillole

Le col de la Couillole, situé dans les Alpes françaises, fait déjà partie de l'histoire du Tour de France.

S'étendant sur 16 kilomètres avec un dénivelé de plus de 1 100 mètres, cette route de montagne est entourée de rochers et de prairies verdoyantes.

Au départ de la commune de Saint-Sauveur-Sur-Tinée, l'itinéraire traverse les villages pittoresques de Roure et de Roubion, dont les édifices en pierre colorés se détachent de façon spectaculaire sur la flore alpine.

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