Surnommée la « ville rose » pour ses bâtiments en briques de terre cuite, Toulouse allie un riche patrimoine aérospatial à une délicieuse cuisine locale et à une scène culturelle dynamique. Explorez ses places charmantes et ses marchés animés embaumés par les effluves des spécialités locales.Visitez l'impressionnante Cité de l'espace pour une expérience immersive dans l'exploration spatiale et l'aviation.
Région Occitanie
Départements : Ariège, Aude, Aveyron, Gard, Haute-Garonne, Gers, Hérault, Lot, Lozère, Hautes-Pyrénées, Pyrénées-Orientales, Tarn, Tarn-et-Garonne.
Population : 5,9 millions hab.
Préfecture : Toulouse
Superficie : 72 724 km2
Spécialités : foie gras, cassoulet, aligot, tielle sétoise, brandade de morue, haricots tarbais, garbure, oignon doux, cerises de Céret, vins (Pic Saint-Loup, Corbières, Cahors, Costières de Nîmes, blanquette de Limoux, Minervois, Tavel, Madiran). Eau source Perrier.
Clubs sportifs : Stade Toulousain, Castres Olympique, Montpellier HR, USAP Perpignan (rugby), Montpellier HSC, Nîmes Olympique, Toulouse FC (football), Dragons Catalans (rugby à XIII), Montpellier Handball, Fenix Toulouse, USAM Nîmes-Gard (handball)
Compétitions : Tour de France, Open Sud de France (tennis), Route d’Occitanie (cyclisme).
Économie : aéronautique et espace (Airbus, Ariane, Toulouse), défense, informatique, nucléaire, agro-alimentaire, agriculture (vins, céréales), tourisme, industrie pharmaceutique. Universités (Montpellier, Toulouse).
Festivals : férias de Nîmes et Béziers, Rio Loco (Toulouse), Festival Radio France Montpellier (classique), Comédie du Livre (Montpellier), Electro Beach (Port Barcarès), Jazz in Marciac, Cinémed (Montpellier), Circa Auch, festival du roman noir à Frontignan.
Sites touristiques : Cité de Carcassonne, basilique de Lourdes, Toulouse (Capitole, Saint-Sernin, ville rose), Montpellier (place de la Comédie, Écusson), plages, Pont du Gard, Arènes de Nîmes, châteaux forts cathares, Canal du Midi, cathédrales d’Albi, Castres et Rodez. Viaduc de Millau, grottes de Niaux et du Maz d’Azil. Pont Valentré à Cahors. Villages de caractère. Plages de l’Aude, du Gard et de l’Hérault. Stations de ski des Pyrénées et de l’Ariège.
Site web : www.laregionoccitanie.fr
HAUTE-GARONNE (31)
Population : 1 400 039
Préfecture : Toulouse
Sous-préfectures : Muret, Saint Gaudens
Superficie : 6 309 km²
Spécialités : cassoulet, saucisse de Toulouse, foie gras, magret de canard, violette de Toulouse, vin AOP Fronton, ail AOC Cadours, agneau IGP des Pyrénées, porc noir de Bigorre (AOC), veau fermier du Lauragais (Label Rouge).
Sports : Alpinisme, équitation, escalade, randonnées pédestres (Via Garona GR861, GR10, GR46, GR653, GR86,), rugby, spéléologie, sports d’eaux vives sur la Garonne (canoë kayak, hydrospeed, rafting), sports aériens (parapente, planeur, ULM) sports d’hiver (ski, raquettes, chiens de traîneau), VTT (espace FFC Pyrénées Comminges), Voile.
Clubs sportifs : Stade Toulousain, Toulouse Football Club, Fénix Toulouse Handball, Toulouse Métropole Basket, Spacers Volley, TOXIII, l’Union Sportive Colomiers Rugby.
Compétitions : Luchon Aneto Trail (la ville de Luchon est labellisée Station Trail), trail du Mourtis », Trail Toulouse Métropole, Trail du Cagire
Festivals : 31 Notes d’Eté, Jazz sur son 31, Festival des créations télévisuelles de Luchon, Printemps du rire, Rio Loco, Festival du Comminges à Saint Bertrand de Comminges, Toulouse les Orgues…
Économie : Aéronautique et spatial, Tourisme, 4 stations de ski, viticulture (Fronton)
Sites remarquables : Musée de l’Aurignacien, Saint Bertrand de Comminges classé « Plus beaux villages de France » ; Martres-Tolosane et Revel labellisées « Villes et Métiers d’Art » ; Lac de Saint Ferréol ; le Canal du Midi classé à l’Unesco avec sa voie verte ; Lac d’Oô dans les Pyrénées centrales ; La Cité de l’Espace, La basilique Saint Sernin, l’une des plus grandes basiliques romanes conservées d’Europe…
A vélo : 50 sites labellisés Accueil Vélo. Route des cols Pyrénéens avec panneaux de signalisation spécifique (dénivelé, altitude…). Département traversé par le Canal des 2 Mers à Vélo, avec une voie verte qui longe le Canal du Midi. 3 parcours cyclables dont un le long de la Garonne, de Carbonne aux Pyrénées qui reliera bientôt l’Espagne (Trans Garona).
Sites web et réseaux sociaux : http://www.haute-garonne.fr/ http://hautegaronnetourisme.com, https://www.facebook.com/TourismeHG/, https://twitter.com/TourismeHG, https://www.instagram.com/tourismehg
Km 2.5
Aussonne (7 730 hab.)
C’est à Aussonne qu’est installé le nouveau parc des expositions et centre de conventions de Toulouse, le MEETT, inauguré en 2021. Installé sur 70 000 m2, il accueille chaque année environ 700 000 visiteurs. Le clocher de l’église Notre-Dame du Rosaire est inscrit MH depuis 1926. Vu sa proximité avec Toulouse, Aussonne est une terre de rugby et les internationaux David Skrela et François Cros ont évolué sur ses pelouses.
Km 4.6
Seilh (3 300 hab.)
Sur la commune se trouve le golf de Toulouse-Seilh, qui comprend deux parcours de 18 trous. La commune compte un édifice inscrit Monument historique, le château de Rochemontès (XVIIe, l’un des rares châteaux toulousains de style Louis XIII). Son jardin est attribué à Le Nôtre. Le domaine accueille des mariages, des séminaires et divers évènements culturels.
Km 10.1
Merville (6 640 hab.)
Le patrimoine architectural de la commune comprend deux immeubles protégés au titre des monuments historiques : le château, classé en 1987, et le château de Beillard, inscrit en 1992.
Château de Merville
Construction : 1743 à 1759
Style : classique.
Histoire : en 1734, le marquis Henri-Auguste de Chalvet-Rochemonteix (1715-1772), grand sénéchal de Toulouse et d'Albigeois, décide d’édifier une somptueuse bâtisse de briques roses, dont la construction débute en 1743. Homme des Lumières, il dicte lui-même les plans à l'architecte toulousain Maduron. Les travaux durent quinze ans. Son fils est jeté en prison pendant la Révolution, mais il conserve le château, qui passe par la suite à la famille de Beaumont du Repaire, qui le possède toujours.
Caractéristiques : le château est en briques : 300 000 furent nécessaires. Il est composé de trois corps de logis disposés en U. Le corps central, qui mesure 50 m de long, possède un avant-corps central en hémicycle, surmonté d'un fronton triangulaire. Il donne sur une terrasse qui surplombe le parc dessiné par Le Nôtre.
Signe particulier : au cœur du parc, le labyrinthe de buis déploie l'éventail de ses allées qui semblent taillées dans des blocs de verdure. À la différence de la grande perspective, conçue pour associer le château au cadre végétal, le labyrinthe de buis, qui s'étend sur 4 ha, a été avant tout conçu pour le promeneur. Depuis 2005, il est ouvert au public sous la forme d'un labyrinthe de découverte et d'exploration. Près de 45 000 visiteurs viennent jouer à se perdre tous les ans dans les méandres des allées.
Classement : classé Monument historique en 1987. Jardin remarquable.
Km 15.4
Grenade (9 030 hab.)
Bastide fondée en 1290, Grenade est aujourd’hui une commune urbaine qui a connu une forte hausse de la population depuis 1975. Grenade est la plus importante ville de la communauté de communes des Hauts Tolosans et du Pays Tolosan. Le patrimoine architectural de la commune comprend quatre immeubles protégés au titre des monuments historiques : le pont sur la Save, inscrit en 1926, l'église Notre-Dame-de-l'Assomption, classée en 1951, la halle, classée en 1979, et le couvent des Ursulines, inscrit en 1988.
Halle de Grenade
Construction : XIIIe siècle.
Histoire : Grenade s’enorgueillit de posséder l’une des halles médiévales les plus anciennes et les plus vastes de France (1 800 m2). Cet édifice remarquable fut construit par les fondateurs de la ville, dans un but commercial et administratif. Le rez-de-chaussée était utilisé pour les foires et les marchés, alors que la charpente monumentale abritait les salles communes : le premier hôtel de ville de Grenade.
Caractéristiques : sa charpente de trois étages est surmontée d'un beffroi et les trente-six piliers octogonaux sont constitués de briques roses typiques du pays toulousain. Le bois le plus ancien de la charpente, résineux et chêne, a été coupé au XIIIe siècle. De plan carré, elle mesure 134 pieds de côté, environ 41 mètres.
Destination actuelle : la halle demeure au cœur de la ville et le marché hebdomadaire s’y déroule le samedi matin.
Classement : classée Monument historique en 1979.
Km 24.3
Castelnau-d’Estrétefonds (6 920 hab.)
La commune abrite l'un des plus grands pôles multimodaux de France, la zone Eurocentre. Le patrimoine architectural de la commune comprend trois immeubles protégés au titre des monuments historiques : le calvaire, classé en 1979, le château, inscrit en 1987 puis classé en 1992, et l'église Saint-Martin, inscrite en 2001.
Château de Castelnau-d’Estrétefonds
Construction : XVIe, XVIIIe et XIXe siècle.
Style : Louis XIII.
Histoire : le château fut perdu au XIIe siècle par le comte de Toulouse au profit d’Henri II Plantagenêt, qui s’y installa, tandis que ses troupes demeurèrent au pied du château. Plusieurs siècles plus tard, c’est au tour de Louis XIII de séjourner dans le château de Castelnau-d’Estrétefonds. Il s’y rend pendant le siège de Montauban (1621). D’un point de vue architectural, on retrouve la belle couleur orange, typique de l’usage de la brique régionale. De plus, ses deux tours carrées lui confèrent une allure sans pareille. En 1963, une congrégation de sœurs en fait l’acquisition et le baptise Notre-Dame du Bon Accueil et y exerce une œuvre sociale.
Signe particulier : à proximité, le jardin du terroir est propice à la balade.
Classement : classé Monument historique en 1992.
Km 30.3
Fronton (6 410 hab.)
Au XIIe siècle, avec la protection du pape Calixte II venu en 1119 consacrer l’église, le vignoble est la propriété des Hospitaliers de l’ordre de Saint-Jean de Jérusalem. L’Ordre a construit le village autour de l’église Saint-Jean-Baptiste, bâtie sur l’emplacement de l’église actuelle. Les donations pieuses affluent et l’Ordre crée à Fronton une commanderie. Le village se construit à l’abri des fossés et des remparts, et la vie s’organise sous la protection du château seigneurial. Ce vignoble, l’un des plus anciens de France, a fait la fortune de Fronton. La renommée des vins n’atteint son apogée qu’au XVIIIe siècle : le protectionnisme dont bénéficient les vins girondins prend fin et les vins peuvent être exportés via Bordeaux vers l’Europe entière. Cette belle prospérité ne résiste pas à la fin du XIXe siècle au phylloxéra. Grâce aux efforts tenaces de générations de vignerons, les vins de Fronton retrouvent leurs lettres de noblesse en obtenant en 1975 l’appellation d'origine contrôlée. La renommée du vin de Fronton s'est également distinguée lorsque la cuvée INES a remporté en 2008 le prix du meilleur vin rosé du monde.
Km 53.8
Lapeyrouse-Fossat (3 000 hab.)
La commune possède deux jolis châteaux en briques du XVIIIe siècle, tous les deux privés, le château de Lapeyrouse et le château de Fossat.
Km 80.8
Lanta (2 270 hab.)
Lanta était un fief du catharisme (XIIe et XIIe siècle), dont la famille Hunaud de Lanta, liée à Monségur, était une adepte fervente. Les Hunaud seront par la suite les chefs du soulèvement protestant de mars 1562 à Toulouse. Les terres de Lanta et de cette partie du Lauragais appartiennent par la suite à la famille de Pierre-Paul Riquet, le créateur du Canal du Midi.
Km 97.2
Labastide-Beauvoir (1 230 hab.)
C’est à Labastide-Beauvoir que Jérôme Cazalbou a commencé sa carrière au rugby avant de rejoindre le Stade Toulousain, l’équipe de France (4 sélections) et devenir consultant rugby sur France Télévisions. Comme de nombreuses églises du Lauragais, l’église du village, Notre-Dame de l’Assomption, abrite une cloche du XVIIe siècle classée MH. Le château de Labastide-Beauvoir (XIIIe au XIXe) est inscrit MH depuis 1983. Il accueille aujourd’hui des réceptions et des évènements.
Km 103
Baziège (3 590 hab.)
La commune dispose de deux églises, l’église Saint-Étienne, inscrite Monument historique en 1950, et la chapelle Sainte-Colombe, inscrite en 1986. La première, reconstruite au XVIe siècle, présente un clocher mur fortifié et témoigne des violences de l’époque de sa reconstruction, la deuxième est aussi équipée d’un clocher pignon typique du Lauragais. À signaler également la présence d’un « phare aéronautique », sorte de pilier en béton éclairé dans l’obscurité, qui permettait aux avions circulant de nuit de se repérer dans les années 1920 et 1930. Il ne reste que trois phares de ce type dans la région toulousaine, pionnière en termes d’aviation. Le phare de Baziège se situait sur l'axe Toulouse-Narbonne et servit de guide à des noms prestigieux tels Mermoz, Saint-Exupéry ou Guillaumet.
Km 105.3
Ayguesvives (2 800 hab.)
La localité est alimentée par le canal du Midi. Le patrimoine architectural de la commune comprend deux immeubles protégés au titre des monuments historiques : l'Hôtel de Grailhe, inscrit en 1998, et la chapelle du château de Roquelaure, inscrite en 1998. La commune dispose en outre de quatre châteaux, dont le château d’Ayguesvives (XVIIIe), devenue mairie en 2003. Ayguesvives est l’un des rares bastions du rugby à XIII dans une région presque exclusivement dévouée au rugby à XV.
Km 106.6
Montgiscard (2 120 hab.)
Sa jolie église du XVe siècle avec son clocher-mur typique de la région, a fait la réputation d’une ville dans laquelle a vécu et où a été enterré l’économiste Bernard Maris, assassiné lors de l’attentat contre Charlie Hebdo en janvier 2015. C’est aussi le village natal de la chanteuse Pauline Ester.
Km 117.9
Pompertuzat (2 200 hab.)
Les deux édifices les plus remarquables de la ville sont son église Saint-André et Saint-Cloud (XVIe), inscrite Monument historique en 1973, mais surtout son pont de briques enjambant le canal du Midi, le pont de Deyme, inscrit lui aussi en 1998. Détruit pendant la bataille de Toulouse en 1814, il est rebâti sept ans plus tard.
Km 121.4
Castanet-Tolosan (15 260 hab.)
Au bord du canal du Midi, situé à 11 km de Toulouse, Castanet-Tolosan est devenue une grande banlieue résidentielle de la ville rose. Son patrimoine (une écluse, un aqueduc) est surtout lié au canal.
Km 127.8
Aureville (1 020 hab.)
Dans le cimetière d’Aureville repose l’écrivain Kléber Haedens, qui y est décédé en 1976. Prix Interallié en 1966 pour L’été finit sous les tilleuls, Grand Prix du roman de l’Académie française pour Adios en 1974, c’était aussi un grand amateur du Tour de France, qu’il avait couvert comme journaliste et ne manquait jamais de suivre avec assiduité depuis sa ferme d’Aureville, la Bourdette, où il recevait ses amis Roger Nimier, Antoine Blondin et le gratin du rugby français pour des repas copieux et arrosés.
Km 133.7
Lacroix-Falgarde (2 050 hab.)
Château de Lacroix-Falgarde
Construction : 1574
Histoire : le château est un témoin de l'époque du pastel qui a fait la fortune du Lauragais. François Delpuech, seigneur de la commune et riche pastelier, fait construire le château en 1574. La construction est confiée à deux maîtres maçons, Raymon Huffernec et Raymond de Vaulx. En août 1580 l'édifice est habitable. Au premier étage dans la grande salle se trouve une magnifique cheminée à briques moulurées. Elle serait l'œuvre de Dominique Bachelier.
Caractéristiques : maison de campagne de plan rectangulaire à pavillons d'angle, appartenant à la tradition toulousaine par la maçonnerie de briques et le détail des élévations. Les bâtiments s'ordonnent autour d'une cour rectangulaire dont le côté de l'entrée est formé d'un mur au centre duquel s'ouvre le portail encadré de pilastres. Les côtés de la cour sont bordés par les communs aux façades ornées de pilastres portant des arcades. Le corps de logis occupe le fond de la cour et s'ouvre par une porte en forme d'arc de triomphe ionique précédée d'un perron en fer à cheval. Les fenêtres ont conservé leurs croisées de pierre à meneaux sculptés. L'édifice conserve des éléments défensifs. Il était entouré de douves et les pavillons d'angle, sur plan bastionné, étaient percés de meurtrières. À l'intérieur, quelques salles ont conservé leur plafond à la française et des cheminées.
Destination actuelle : le château a été restauré pour accueillir des appartements.
Classement : classé Monument historique en 1958.
Km 139.5
Portet-sur-Garonne (9 800 hab.)
Au travers du Musée de la mémoire, installé dans une partie des bâtiments, la commune entretient le souvenir du camp de transit et d’internement du Récébédou, par lequel transitèrent entre février 1941 et septembre 1942 des dizaines de juifs et de républicains espagnols ensuite déportés vers les camps de la mort. Conçu comme un camp hôpital ou un camp de réfugiés, il accueille près de 1 400 personnes et les conditions d’hygiène s’y détériorent très vite. Il est fermé à la suite des protestations de l’archevêque de Toulouse, Jule Saliège. Portet-sur-Garonne comprend trois édifices inscrits MH, son église Saint-Martin avec son clocher-mur, la pyramide de démarcation entre la Guyenne et le Languedoc (du XVIIe siècle) et le château de la Creuse (XVIe). Les rugbymen internationaux Éric Bonneval (18 sélections) et Christophe Deylaud (16 sélections) ont débuté à Portet-sur-Garonne.
Km 141.7
Vieille-Toulouse (1 220 hab.)
La localité doit son nom à un ancien oppidum gaulois installé sur plus de 8 km et 300 ha autour de trois éperons. Occupé par la tribu des Tolosates, il compte près de 5 000 habitants et est connu sous le nom de Tolosa Tectosagum après l’occupation romaine. Au Ier siècle, le site est abandonné au profit de la nouvelle ville construite par les Romains et qui devint ensuite Toulouse.
Km 91.8
Fourquevaux (Pop: 810)
The village has been home to a number of celebrities, including Marquésa de Fourquevaux, a Cathar who was burnt alive at Montségur in 1244, French ambassador to Spain Raymond Beccarie de Pavie (1508-1574) and painter Jean-Paul Laurens (1838-1921), a friend of Rodin and Charles Péguy and a specialist in historical scenes whose works adorn the Capitole in Toulouse and the Hôtel de Ville in Paris.
Château de Fourquevaux
Construction: 13th, 15th and 18th centuries.
Style: composite.
History and characteristics: the castle belonged to the Beccaria family from Pavia, one of whose members was an ambassador for Catherine de Medici. Castle: 15th century, 16th century; Orangery: 4th quarter 18th century. The old part, of which only the central wing remains, is situated to the north and has an arcaded ground floor overlooking the courtyard and a first floor. The orangery has only one storey and is adorned with pediments and Ionic pilasters. A balustrade topped with fire pots links the pediments. The interior features Empire-style decorative elements.
Listed as: Historical Monument in 1979.
Suivez-nous
Recevez des informations exclusives sur le Tour de France