Chinon : connue pour ses vignobles et son magnifique château, Chinon invite visiteuses et visiteurs à explorer son cœur médiéval. Célèbre pour sa forteresse royale surplombant la ville, elle offre un voyage à travers l'histoire de France, notamment à l'époque de Jeanne d'Arc. Flânez dans les rues étroites et découvrez les charmantes caves à vin de la ville. Les amatrices et amateurs de vin apprécieront de déguster les cépages locaux, en particulier le célèbre cabernet franc, pour une délicieuse étape pendant le Tour.
Châteauroux : ville historique aux parcs ravissants, Châteauroux est la destination parfaite pour une visite tranquille. L'attrait de la ville est son riche patrimoine historique, notamment le château Raoul qui surplombe l'Indre. Promenez-vous dans le pittoresque parc Balsan et profitez de la sérénité qui y règne. Découvrez l'hospitalité locale et explorez les marchés de la ville, où vous pourrez goûter des produits frais régionaux et artisanaux. Châteauroux est également la porte d'entrée idéale pour explorer la campagne berrichonne, ses traditions locales et sa gastronomie régionale.
Région Centre-Val de Loire
Départements : Cher, Eure-et-Loir, Indre, Indre-et-Loire, Loir-et-Cher, Loiret
Population : 2,6 millions habitants
Préfecture : Orléans
Superficie : 39 151 km2
Spécialités : vins de Loire (Bourgueil, Vouvray, Chinon…). Tarte Tatin. Pithiviers. Fraises Mara des Bois. Crottin de Chavignol, Sainte-Maure de Touraine (fromages), poissons de Loire (anguilles, brochets). Potée berrichonne. Pralines de Montargis. Macarons aux fruits d’Orléans. Asperges de Sologne. Truffe noire du Berry.
Clubs sportifs : Tours FC, Berrichonne de Châteauroux, US Orléans-Loiret (football), Tango Bourges basket, Tours Métropole Basket, C’Chartres basket, Orléans Loiret Basket. Chartres Métropole Handball.
Compétitions : Paris-Nice, Paris-Tours, Route tourangelle (cyclisme). Ironman 70.3 Tours Métropole. Orléans Masters (badminton). Co’Met Orléans Open (tennis, challenger).
Festivals : Printemps de Bourges, Jazzin’ Cheverny, Jazz en Touraine, Chinon en Jazz, Terres du son, Aucard de Tours, Cocorico Electro, la Forêt des Livres, BD Boom, Festival des Grandes orgues de Chartres.
Économie : le Centre-Val de Loire est la première région céréalière en Europe et la sixième région industrielle française. Quatre centrales nucléaires (15% de la production française). Tourisme (châteaux de la Loire).
Sites touristiques : châteaux de la Loire (Chambord, Amboise, Blois, Chenonceau, Tours, Chinon, Azay-le-Rideau, Cheverny, Loches, Le Clos-Lucé…). Cathédrale de Chartres (patrimoine mondial de l’Unesco). Cathédrales de Bourges, Orléans et Tours. Palais de Jacques-Cœur à Bourges. Zoo de Beauval. S
ites web et réseaux sociaux : www.centre-valdeloire.fr, www.valdeloire-france.com
INDRE-ET-LOIRE (37)
Département de la Région Centre-Val de Loire
Population : 616 326 habitants, répartis sur 19 cantons et 272 communes.
Préfecture : Tours (139 000 hab.).
Sous-préfectures : Chinon, Loches.
Spécialités : sucre d’orge de Tours, épine noire, liqueur de fraise, fouace de Touraine, quiche tourangelle, macaron de Cormery, nougat de Tours. Vins de Loire (Vouvray, etc.)
Sport : Tours FC (National 3), Touraine Basket Club.
Festivals : Terres du son à Monts / Les Années Joué à Joué-les-Tours / Les Journées du potager à Villandry / Vilitoire à Tours / Festival des Horizons à Saint-Avertin / À Tours de Bulle / Rock in the House.
Sites touristiques : châteaux de Langeais, Loches, Gizeux, Montpoupon, Amboise (l’un des monuments les plus visités de France), Chenonceau, Montrésor. Grottes de Savonnières.
Économie : STMicroelectronics (fabricant de semi-conducteur), Centre hospitalier régional universitaire de Tours, 1er employeur de la région avec environ 8 000 personnes.
Site web : www.touraine.fr
Km 3.5
Léméré (415 hab.)
Château du Rivau
Construction : 1445
Style : médiéval et Renaissance.
Histoire : fortifié au XVe siècle puis humanisé à la Renaissance. Au cœur des conflits anglo-français, il occupe une position stratégique au-dessus de la vallée de la Vienne et de la Veude. Au XVIe siècle, le bâtiment qui clôturait le quadrilatère du château est détruit. À la même époque, les fenêtres gothiques de la façade ouest du château sont agrandies et ornées de sculptures. Au XVIIIe siècle, grâce à ses riches terres, il devient « château de rapport » et conserve les caractéristiques médiévales de sa construction. Au XIXe siècle, le château devient un lieu de stockage de blé et oublie ses fastes d’antan. À partir de 1992, ses propriétaires entament une restauration récompensée par plusieurs distinctions.
Caractéristiques : forteresse à l’extérieur avec son donjon, ses douves, son pont-levis (en fonctionnement) et son chemin de ronde, le château est aussi un château d’agrément. Dès l’entrée, le visiteur gravit l’escalier à vis où de nombreux graffitis du XVe siècle sont à décrypter. Des vastes salles du Rivau, se dégage une atmosphère chaleureuse : des cheminées gothiques aux murs enduits de badigeon de chaux comme en Toscane, la somptueuse tapisserie de Bruxelles jusqu’aux coussièges devant les fenêtres à meneaux pourvus de coussins où les visiteurs sont invités à s’asseoir pour contempler les jardins.
La petite histoire : le château était réputé pour ses écuries et Jeanne d’Arc y effectua une halte en 1429 pour s’y fournir en chevaux avant de rejoindre le siège d’Orléans.
Classement : classé Monument historique en 1918. Jardin remarquable.
Km 7.1
Champigny-sur-Veude (810 hab.)
Village bâti autour de son château qui s’attira les foudres de Richelieu et fut en partie démoli en 1635. Sur la commune se trouve aussi le petit château de la Pataudière (XVIe), inscrit MH en 1997.
Château de Champigny-sur-Veude
Construction : XVIe et XVIIe siècles.
Style : Renaissance.
Histoire : Le château égalait celui de Richelieu, ce qui causa sa destruction. Il fut commencé par Louis Ier de Bourbon et achevé par Louis II, premier duc de Montpensier. En 1625, Marie de Bourbon l'apporte en dot à Gaston d'Orléans. En 1635, le duc d'Orléans est invité par le cardinal à échanger Champigny pour la seigneurie de Bois-le-Vicomte, et le contrat stipule que le château sera rasé à la réserve des servitudes. Seule la chapelle échappe à la destruction, le pape Urbain VIII qui y a officié, refusant son autorisation. En 1656, la restitution est obtenue par la fille de Gaston d'Orléans. Des réparations sont faites sur les communs, utilisés comme habitation principale.
Caractéristiques : les communs, avec quelques murs d'enceinte, sont les seuls restes du château construit par Louis de Bourbon. Ce sont trois corps de bâtiments en équerre entourant l'ancienne basse-cour. Celui du centre présente deux étages avec, en son milieu, un pavillon surélevé et en saillie, à chaque extrémité, deux tours d'angle cylindriques couvertes d'un toit en coupole, surmonté d'un lanternon. La chapelle a été achevée vers 1540. Le porche de 1549 (date inscrite à l'intérieur du porche) serait contemporain des bâtiments subsistants de l'avant-cour (datés de 1545 par une clef de voûte des écuries). Les vitraux de la chapelle sont un témoignage exceptionnel de l'art du vitrail du XVIe siècle.
Signe particulier : la Sainte-Chapelle du château compte parmi les sept encore existantes de nos jours. Elle a été construite en même temps que le château originel et est pourvue d’un riche décor, notamment de vitraux, retraçant l’histoire de la seconde maison de Bourbon-Montpensier en rapport avec la personne du roi saint Louis. Elle fut, quand le château était encore présent, une chapelle palatine, car accolée à celui-ci.
Classement : classé Monument historique en 1911 (chapelle) et 1945 (château)
Km 12.7
Richelieu (1 620 hab.)
Ville neuve édifiée entre 1631 et 1642, elle porte l’empreinte de son fondateur et commanditaire, le cardinal de Richelieu, et constitue un témoignage remarquable de l’urbanisme du XVIIe siècle. « Cité idéale » dessinée par l’architecte Jacques Lemercier, elle est basée sur un plan en damier sur le modèle des villes romaines ou des bastides médiévales. Elle s’articule autour de deux places, la place Royale et la place du Cardinal, et est ceinte de remparts et de portes monumentales. C’est aujourd’hui un site patrimonial de premier plan, inscrit dans un périmètre de protection et bénéficiant d’un plan de sauvegarde et de mise en valeur depuis 1997.
Enceinte de RichelieuConstruction : XVIIe siècle.
Style : classique.
Histoire et caractéristiques : le cardinal de Richelieu décida de transformer le village où il était né en une ville dont les plans furent tracés par l'architecte du château, Jacques Lemercier. La ville présente un plan régulier, avec fossés, mur d'enceinte, portes monumentales, rues symétriques et maisons alignées. Le mur d'enceinte subsiste en grande partie, de même que les quatre portes monumentales flanquées de pavillons, commandant les quatre routes d'accès à la ville. En 1631, Louis XIII signe les lettres patentes qui donnent l'autorisation de bâtir une ville ; l'analyse des sources fait apparaître que le roi paie les fortifications, et les portes de ville. C’est une enceinte quadrangulaire de 300 toises de longueur sur 200 toises de largeur (y compris les fossés) percée de trois portes : la porte de Paris ou de Chinon au nord, la porte de Loudun à l'ouest et la porte du château ou de Châtellerault au sud ; trois fausses portes, matérialisées par deux pavillons, sont placées dans la perspective des rues est ouest.
Signes particuliers : le château de Richelieu est presque entièrement démoli. Par ailleurs, neuf maisons construites en même temps que la ville au sein de l’enceinte sont protégées au titre des Monuments historiques.
Classement : classée Monument historique en 1879.
Km 20.7
Faye-la-Vineuse (220 hab.)
Le principal monument de la commune de Faye est la collégiale Saint-Georges, bâtiment religieux très important à l'époque médiévale. Elle a été fondée en 1039 par Dame Nivès, seigneur de Faye et remaniée aux XIIe et XIXe siècles. La collégiale était attachée au château aujourd'hui détruit.
Ancienne collégiale Saint-Georges
Construction : XIIe siècle.
Style : roman.
Histoire : l'église actuelle est du XIIe siècle et a remplacé une modeste construction fondée en 1039 par Nivée épouse d'Aymery Ier de Loudun. Elle a subi d'importants dommages pendant les guerres de religion (1562 et 1593).
Caractéristiques : cette église romane jadis entourée d'un cloître et de bâtiments conventuels a été mal restaurée au XIXe siècle. Elle présente cependant des caractéristiques particulières. De chaque côté de l'arc triomphal, deux passages latéraux font communiquer la nef avec la première travée de chaque croisillon. Le chœur de deux travées et l'abside sont entourés d'un déambulatoire sur lequel s'ouvrent trois chapelles rayonnantes. La crypte du XIe siècle est par ailleurs inhabituelle par ses grandes dimensions (15 m x 11 m) et sa hauteur sous voûte. Elle est composée d'une nef centrale de deux travées entourées d'un déambulatoire. Les chapiteaux sculptés représentent diverses scènes : cortège des rois mages, adoration des mages, combat de cavaliers etc.
Classement : classée Monument historique en 1931.
VIENNE (86)
Population : 431 248 hab.
Préfecture : Poitiers
Sous-préfectures : Châtellerault, Montmorillon
Superficie : 6 990 km²
Spécialités : Broyé du Poitou, melon du Haut-Poitou, truffe noire, farci poitevin, macarons de Montmorillon, escargots, tourteau fromager, vin du Haut-Poitou (AOC)
Clubs sportifs : Poitou Charentes Futuroscope 86 (équipe cycliste féminine), Stade Poitevin Volley Beach (ligue A), Poitiers Basket 86 (Pro B), TTACC tennis de table (Pro A), Motoball Neuville-de-Poitou (1ère division), Stade Poitevin Féminin Triathlon (1ère division)
Compétitions : Marathon Poitiers-Futuroscope, Internationaux féminins de tennis de la Vienne, Tour cycliste Poitou-Charentes, Meeting national d’athlétisme Poitiers, Championnat de France de Montgolfières.
Festivals : Les Heures Vagabondes (concerts gratuits) / Soirées Lyriques de Sanxay / Festival « Au fil du son » / Festival « Les vacances de Mr Haydn » / Polychromies de Notre Dame la Grande / Gamers Assembly / Jazzellerault.
Économie : Tourisme (Futuroscope, Vallée des Singes, Thermalisme de la Roche-Posay, Center Parcs…), aéronautique, sous-traitance automobile, viticulture / agriculture, industrie agro-alimentaire.
Sites remarquables : Abbaye de Saint Savin, classée au patrimoine mondial de l’UNESCO
Sites web / FB / Twitter : https//www.lavienne86.fr / @departement86 / @ATV86 / https//www.facebook.com/departement86 / https//www.facebook.com/tourismevienne.melusine86 / https//www.dailymotion.com/departement86
Km 42.5
Thuré (2 800 hab.)
Connue pour ses carrières de tuffeau, Thuré dispose de deux édifices classées Monuments historiques, son église Saint-Pierre, classée en 1910, et le château de la Massardière.
Château de la Massardière
Construction : XVe et XVIe siècles.
Caractéristiques : la porte fortifiée franchie, on découvre un beau manoir de plaisance, dont les bâtiments sont reliés par une galerie construite autour des années 1520. Le château s'inscrit dans l'angle d'un vaste domaine pourvu d'une cour centrale bordée de communs. Le logis a une forme en L. La façade antérieure de cette construction fut précédée au XVIe siècle d'une élégante galerie, composée de quatre arcatures à arc surbaissé reposant sur des colonnes octogonales. Le passage à ciel ouvert qui la surmonte est protégée par un garde-corps plein, orné de pilastres. La galerie et le passage permettent la circulation entre la tour desservant le logis et l'aile en retour d'équerre construite au XVIe siècle.
Signe particulier : on peut aussi admirer le colombier. Il a été classé monument historique en 1932.
Classement : classé Monument historique en 1932 et 1962.
Km 46.2
Châtellerault (31 500 hab.)
La ville de René Descartes et de l’ancienne Premier ministre Édith Cresson est aussi celle de Sylvain Chavanel et de son frère Sébastien. À voir, l’ancienne manufacture d’armes et le beau théâtre Blossac à l’italienne, parfaitement restauré en 2013. Sylvain Chavanel a marqué l’histoire du Tour de France en tant que recordman de participations à l’épreuve : 18 consécutives entre 2001 et 2018. Six fois champion de France du contre-la-montre et une fois champion de France sur route, le Poitevin a également remporté trois étapes du Tour, une en 2008 et deux en 2010, où il a porté le Maillot Jaune pendant deux jours. Deux fois récompensé comme Super-combatif, Sylvain Chavanel compte également à son palmarès un Grand Prix de Plouay, deux éditions des Quatre Jours de Dunkerque et des Trois Jours de la Panne et trois étapes de Paris-Nice. Son frère Sébastien, qui a participé à trois éditons du Tour (lanterne rouge en 2015), compte également à son palmarès cinq étapes du Tour de l’Avenir et la coupe de France 2007. Sont également originaires de Châtellerault Claude Colette, qui participa à cinq Tours de France entre 1953 et 1960, et Thomas Bonnet, professionnel chez TotalEnergies depuis 2023. Sans oublier Alfred Brailly, qui participa au Tour 1919 et Denis Dugouchet, champion d’Europe Masters 55-60 ans en 2024. Une mention particulière doit être accordée à Émile Georget, né à Bossay-sur-Claise (km 90 de cette étape). Troisième du Tour de France en 1907 et 1911, « Gros Rouge » (son surnom) remporta également neuf étapes de la Grande Boucle en neuf participations de 1905 à 1914. Champion de France sur route en 1910, vainqueur de Bordeaux-Paris en 1910 et 1912 et de Paris-Brest-Paris en 1911, il fut également le premier vainqueur du Galibier sur le Tour de France en cette même année 1911. Sa famille s’était installée à Châtellerault (son frère Léon (4 Tours de France) et son neveu Pierre furent également coureurs) et y dirigea un garage Peugeot sur trois générations jusqu’en 2007. Les souvenirs de la famille sont conservés au musée Auto Vélo (aujourd’hui musée du Grand Atelier) de Châtellerault.
Pont Henri IV
Construction : 1571-1609
Histoire : un premier pont en pierre est construit au XIIe siècle. Endommagé par les crues et par la Guerre de Cent Ans, le pont fait l’objet d’un projet de reconstruction à partir de 1564. Le pont a failli être détruit en 1944 par l’armée allemande.
Caractéristiques : le pont permet l’accès à la ville de Châtellerault. Il a été prévu des tours à chacune de ses extrémités. Les tours rondes côté Châteauneuf qui existent encore et des tours carrées côté ville qui n’existent plus. Ces tours ont pu jouer à certains moments le rôle de contrôle de l’entrée de la ville pendant des périodes d’épidémie ou de troubles dans la campagne environnante. Le pont principal comprend neuf travées de 9,85 m d'ouverture portées par des piles épaisses de 4,60 m.
Classement : classé Monument historique en 1913.
Km 57.9
Sénillé-Sain-Sauveur (1 720 hab.)
Issue du regroupement des deux communes de Saint-Sauveur et Senillé en 2016.
Église Saint-Antoine
Construction : XIVe au XVIIe siècles.
Style : gothique flamboyant.
Histoire : cette église, surplombant le bourg de Saint-Sauveur, dévastée au cours de la guerre de Cent Ans, a été réparée une première fois (fin XIVe siècle) puis à la faveur de nombreux dons, a connu une vaste campagne de travaux en 1493. À la Révolution, l’église est vendue comme bien national. On procède alors à un échange avec l’église paroissiale Saint-Sauveur. L’église de la Foucaudière devient alors nouvelle paroissiale sous les vocables de Saint-Sauveur et Saint-Antoine.
Caractéristiques : l’église a été presque refaite à neuf en style gothique flamboyant caractérisé par le riche décor des baies, les arcs en accolade ou les ogives à multiples nervures (prismatiques).
Classement : classée Monument historique en 1910.
Km 66.3
Coussay-les-Bois (910 hab.)
Coussay dispose d’un important patrimoine pour une petite commune : son église Notre-Dame est classée MH depuis 1914 en raison de son parfait été de conservation et son église Saint-Martin, avec son clocher tors, est inscrite MH depuis 1951. Le château de la Vervolière a quant à lui été bâti par les Du Plessis, la famille du cardinal de Richelieu.
Château de la Vervolière
Construction : XVe siècle.
Style : médiéval.
Histoire : Le château a été construit à la fin du XVe siècle et a appartenu à la famille du cardinal de Richelieu. On y distingue les substructions d'une enceinte et de tours se reliant au bâtiment principal. La tour conserve plusieurs salles avec cheminées. Sur la cour intérieure s'ouvraient une chapelle, un pavillon d'escalier et une galerie (détruite) qui communiquait par une petite porte avec la salle voûtée de la tour. A droite de l'entrée de cette tour, des corbelets supportent des mâchicoulis de défense. En face se trouve la porte très ornée de l'escalier.
Classement : classé Monument historique en 1920.
Km 72.5
La Roche-Posay (1 570 hab.)
Station thermale à la réputation internationale pour le traitement des maladies de peau, La Roche-Posay a donné son nom à une gamme de produits cosmétiques propriété du groupe l’Oréal. La ville conserve de son passé médiéval son imposant donjon, une église fortifiée, classée en 1907, et les restes de ses remparts ainsi qu’une porte de ville.
Donjon de la Roche-Posay
Construction : XI au XIVe siècles.
Style : médiéval.
Histoire : une forteresse est édifiée au XIe siècle ou XIIe siècle, de laquelle le donjon actuel faisait partie. Au XIVe siècle, une couronne de mâchicoulis est élevée à son sommet en remplacement de hourds en bois.
Caractéristiques : le donjon s'établit sur une base carrée de 14 mètres de largeur, tout en pierre de tuffeau. Chaque face présente trois contreforts régulièrement espacés. La hauteur du donjon est de 23 m, et l'épaisseur de ses murs de 2,5 m. Il s'élève sur deux étages voûtés en berceau dont l'une offre une acoustique remarquable. Par le passé, deux étages supplémentaires existaient permettant l'accès à la plate-forme sommitale
Classement : classé Monument historique en 1942.
INDRE-ET-LOIRE (37)
Département de la Région Centre-Val de Loire
Population : 616 326 habitants, répartis sur 19 cantons et 272 communes.
Préfecture : Tours (139 000 hab.).
Sous-préfectures : Chinon, Loches.
Spécialités : sucre d’orge de Tours, épine noire, liqueur de fraise, fouace de Touraine, quiche tourangelle, macaron de Cormery, nougat de Tours. Vins de Loire (Vouvray etc...)
Festivals : Terres du son à Monts / Les Années Joué à Joué-les-Tours / Les Journées du potager à Villandry / Vilitoire à Tours / Festival des Horizons à Saint-Avertin / À Tours de Bulle / Rock in the House.
Sites touristiques : châteaux de Langeais, Loches, Gizeux, Montpoupon, Amboise (l’un des monuments les plus visités de France), Chenonceau, Montrésor. Grottes de Savonnières.
Économie : STMicroelectronics (fabricant de semi-conducteur), Centre hospitalier régional universitaire de Tours, 1er employeur de la région avec environ 8 000 personnes.
Sport : Tours FC (National 3), Touraine Basket Club.
Site web : www.touraine.fr
Km 75.8
Yzeures-sur-Creuse (1 345 hab.)
La commune conserve de nombreux vestiges gallo-romains, dont un temple de Minerve auquel un musée est consacré, mais aussi une quinzaine de petits châteaux et manoirs dont celui où est née la cantatrice Mado Robin (1918-1960), principale célébrité de la ville avec Agnès Sorel, dont la légende prétend qu’elle serait née dans un de ses hameaux vers 1420.
Musée Minerve Ouverture : 1972
Histoire : en 1895, l'église du XIIe siècle, trop vétuste, est démolie. En creusant les fondations de la nouvelle église sont mis au jour environ 80 blocs sculptés de grandes dimensions. Des fouilles sont alors entreprises et révèlent quatre types de blocs formant trois monuments. Parmi les trois monuments figure un pilier votif à Jupiter. Le second monument mis au jour est un grand édifice polygonal qui devait probablement être un temple de plan octogonal. Le troisième monument, un autel, est encore mal connu. Une dédicace à Minerve provient d'une construction à caractère sacré, probablement son temple.
Caractéristiques : le Musée Minerve abrite cinquante-deux des blocs découverts lors des travaux de l'église, plus un couvercle et une cuve de sarcophage trouvés plus récemment.
Classement : Musée de France. Les vestiges sont classés Monument historique à titre d’objets depuis 1896.
Km 82.4
Boussay (230 hab.)
La commune compte deux monuments inscrits MH, son église Saint-Laurent (XIIIe au XIXe siècle) et le château de Boussay (XVe au XVIIe siècle).
Château de Boussay
Construction : XVe, XVIIe et XIXe siècles.
Style : composite.
Histoire et caractéristiques : il juxtapose une tour à mâchicoulis du XVe siècle, une aile à la Mansart du XVIIe siècle, et une aile du XVIIIe siècle. Le château est privé, mais le parc tout autour de la bâtisse se visite librement. Les premiers écrits sur ce château datent environ de 1060. Il a d'abord appartenu à la famille de Payen, puis de Menou, enfin il est passé à la famille de Becdelièvre par alliance, par les femmes. Il n'a ainsi jamais été vendu.
Classement : inscrit Monument historique en 1957.
Km 84.5
Preuilly-sur-Claise (1 030 hab.)
Preuilly possède une longue histoire depuis l'époque gallo-romaine jusqu'à la constitution du bourg actuel sur la rive droite de la Claise entre ses deux pôles historiques principaux, l'abbaye bénédictine et le château féodal. Au Moyen Âge, Preuilly avait le titre de première baronnie de Touraine et ses barons successifs jouèrent un rôle régional important, notamment dans les conflits opposant les comtes et seigneurs des provinces voisines, et pendant la guerre de Cent Ans. L'activité agricole et commerciale fut florissante au XIXe siècle, comme en témoignent les beaux hôtels particuliers (notamment l'actuel Hôtel de ville...) et nombreuses maisons de bourg de cette époque (1830-1850).
Château du Lion et musée de la Poterne
Construction : XIVe et XVe siècles.
Histoire : Preuilly était considéré comme la première baronnie de Touraine. En 930, le vicomte Atton, premier seigneur connu, y construisit un château, appelé château du Lion, qui fut détruit en 1130. Au XIVe siècle, la forteresse soutint plusieurs sièges contre les Anglais qui s'en emparèrent et la démantelèrent. Le château est restauré vers 1422 par Pierre Frottier, auquel Charles VII confia l'éducation de sa fille Jeanne, qu'il eut d'Agnès Sorel. Les dernières réparations furent faites au début du XVIIe siècle. À partir de 1650, les barons établirent leur résidence à Azay-le-Ferron, et abandonnèrent définitivement leur château de Preuilly. Au sud, une porte féodale en berceau est accompagnée d'une tour ronde et d'un petit logis couvert en pavillon servaient de premières défenses à la forteresse. Un mur d'enceinte encercle le domaine.
Destination actuelle : la Poterne (XIVe) de l’imposante forteresse abrite aujourd’hui le musée d’histoire locale et de traditions populaires : sont présentés de très précieux vestiges archéologiques, d’outils de silex tous recueillis sur le site de Preuilly et ses environs. Une salle entière est dédiée aux belles broderies et dentelles tourangelles. L’histoire s’allie ici à l’art et laisse place aux traditions populaires. Des visites sont organisées au cours de l'été.
Classement : inscrits Monuments historique en 1927 (chapelle) et 1971 (poterne).
INDRE (36)
Région : Centre-Val de Loire
Population : 216 809 habitants, répartis sur 13 cantons et 243 communes.
Préfecture : Châteauroux (43 079 hab.)
Sous-préfectures : Issoudun, La Châtre et Le Blanc.
Spécialités : lentilles vertes du Berry, galette aux pommes de terre, pyramide de Valençay, pyramide de Pouligny Saint-Pierre, frites de carpe. Vins AOC de Reuilly et Valençay.
Festivals : Festival DARC (danse), Tour Vibration, Nohant Festival Chopin, Festival de harpe de Gargilesse.
Sites touristiques : châteaux de Valençay et de Bouges, château Raoul, domaine de Nohant (George Sand), Abbaye de Déols, Train du Bas-Berry, musée Bertrand, musée Jacques Tati, musée d’Argentomagus.
Économie : industrie (aéronautique, sous-traitance automobile), aéroport de Châteauroux-Centre, agro-alimentaire (Barilla, Mademoiselle Dessert, Laboratoires Fenioux, Axéréal…), PME spécialisées, BTP, logistique, maroquinerie (Louis Vuitton, Rioland), confection (Balsan).
Sport : La Berrichonne Châteauroux, centre national de tir sportif
Sites Internet : www.indre.fr
Situé au cœur de la région Centre-Val de Loire, le département de l’Indre séduit par son patrimoine naturel et historique remarquable. Ses paysages abritent notamment les célèbres étangs de la Brenne, véritable paradis des amoureux de la nature et des passionnés d’ornithologie. Ce parc naturel régional, surnommé la "petite Camargue du Berry", invite à la contemplation et à l’évasion. On peut y observer la cistude, une tortue emblématique qui participe à l’identité de ce territoire préservé. L’Indre a vu naître et s’épanouir de grandes figures historiques. George Sand, écrivaine emblématique du XIXᵉ siècle et résidente de Nohant, y a puisé son inspiration, immortalisant les paysages du Berry dans ses romans. Talleyrand, diplomate influent sous plusieurs régimes, a marqué Valençay, dont le château, fleuron du patrimoine, a attiré plus de 100 000 visiteurs en 2024. Le Général Bertrand, fidèle compagnon de Napoléon, natif de Châteauroux, y laisse son empreinte à travers des lieux emblématiques tels que la place Sainte-Hélène et le Musée Bertrand. L’Indre regorge de trésors architecturaux. L’Abbaye de Déols, vestige médiéval d’exception issu du prestigieux réseau clunisien, est aujourd’hui en lice pour figurer au patrimoine mondial de l’UNESCO. Quant à Saint-Benoît-du-Sault, classé parmi les plus beaux villages de France, il séduit par son charme médiéval et ses ruelles pittoresques. Terre d’accueil des épreuves de tir des Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024, l’Indre se distingue par son engagement en faveur du sport et de ses infrastructures modernes. La Plaine Départementale des Sports, un complexe unique en France, accueille chaque année de nombreuses compétitions internationales et offre un cadre exceptionnel aux athlètes comme aux amateurs de sport.
Km 96.6
Azay-le-Ferron (840 hab.)
Célèbre pour son château. Sur la commune se trouve également la réserve zoologique de la Haute-Touche, l'un des plus vastes zoos de France (436 hectares) et l'un des principaux pôles touristiques du département. C’est une ancienne terre du château d'Azay-le-Ferron appartenant aujourd'hui au Muséum national d'histoire naturelle qui y mène des recherches en biotechnologies et y reproduit des espèces animales sauvages menacées d'extinction.
Château d’Azay-le-Ferron
Construction : XVe au XVIIIe siècles.
Style : Renaissance.
Histoire : plusieurs grandes familles ont été propriétaires d'Azay-le-Ferron, notamment Grégoire Michel, banquier pour les armées de Napoléon. Le château a par la suite été vendu en viager, au XIXe siècle, à la famille Luzarche, famille de maîtres de forges. En 1951, Madame Hersent, fille de Madame Luzarche, a légué le château et le domaine attenant à la ville de Tours.
Caractéristiques : le château est constitué de quatre parties construites à différentes époques : la tour Frotier (fin XVe), l'aile d'Humières (mi-XVIIe), le pavillon François Ier (XVIe), et le pavillon Breteuil (XVIIIe). Les communs, dits l'aile Cingé, sont quant à eux du XVIIe siècle et sont reliés au château par une galerie inspirée de celle du château de Valençay et construite en 1926.
La petite histoire : Monsieur Luzarche entretenait un bel équipage de vénerie dont la devise était « Jusques au bout ». Un jour, alors qu'il chassait le loup à courre, l'équipage d'Azay attrapa une louve qui venait de mettre au monde des louveteaux. L'un d'entre eux fut apprivoisé, baptisé Cacao et participa à la chasse avec la meute de chiens. À l'âge de douze ans, devenu aveugle, il se noya dans l'un des bassins du parc et, en souvenir, fut empaillé.
Signe particulier : le parc, réaménagé par les frères Bühler, célèbres paysagistes, révèle une multitude d’essences d’arbres, des parterres de buis et des topiaires (ifs taillés, inspirés de pièces d’un échiquier), collection réputée pour être parmi les plus belles de France.
Classement : classé Monument historique en 1950.
Km 108
Saint-Michel-en-Brenne (320 hab.)
La commune se trouve sur les anciennes terres de chasse du roi Dagobert, qui en offrit une partie pour créer l’abbaye de Saint-Cyran-en-Brenne. Toujours occupées par des religieuses traditionnalistes, l’abbaye défraya la chronique en 1989, lorsque les gendarmes y découvrirent les affaires du milicien Paul Touvier, une perquisition qui permit son arrestation. Une autre perquisition y fut menée en 2021 après un signalement qui affirmait que Xavier Dupont-de-Ligonès, meurtrier de sa famille, s’y était réfugié.
Km 108.6
Mézières-en-Brenne (960 hab.)
La commune s’enorgueillit de posséder la première église classée de l’Indre.
Église Sainte-Marie-Madeleine
Construction : 1333 à 1339
Style : gothique.
Histoire : l'église fut construite pour Alix de Brabant, cousine de Philippe IV le Bel, qui voulait y placer sa sépulture. La seconde chapelle, ou « chapelle d'Anjou », est fondée côté sud par Nicolas d'Anjou-Mézières, petit-fils de Louis d'Anjou, premier marquis de Mézières, en 1543. Très dégradée, elle n’est pas retenue par Prosper Mérimée dans la première liste des Monument historiques de 1840. Elle est classée 22 ans plus tard et des travaux sont entrepris. Jean-Jacques Grüber, maître verrier, est chargé de la remise en plomb des vitraux et du remplacement des parties manquantes en 1937.
Caractéristiques : l'église du XIVe siècle avait un plan simple, une nef unique sans bas-côté, terminée par une abside à trois pans, couverte d'un lambris en berceau brisé tenu par des poutres peintes armoriées ou décorées de sujets pittoresques.
Classement : classée Monument historique en 1862.
Km 125.9
Buzançais (4 430 hab.)
C’est la ville natale du journaliste Michel Denisot (1945), ancien directeur général de Canal Plus et ancien président du Paris Saint-Germain et de La Berrichonne de Châteauroux (football).
Km 133.2
Argy (570 hab.)
Château d’Argy
Construction : XIIIe au XVe siècles.
Style : Pre-Renaissance, Louis XII et néo-classique.
Histoire : édifié aux XVe et XVIe siècles par le seigneur Charles de Brillac, à l'emplacement d'un ancien manoir fortifié, l'élégant château d'Argy a conservé de sa période Renaissance une magnifique architecture. La splendide galerie, richement décorée, d'inspiration italienne, ou encore la tour de Brillac et le haut donjon, en sont autant de témoignages.
Caractéristiques : le château, les communs du XVIIe siècle et le parc de 40 hectares composent un patrimoine dont l'unité a été reconstituée à partir de 1966, par le Club du Vieux Manoir. À noter la très élégante galerie à double-niveau qui jouxte le donjon, ses machicoulis et ses traces de pont levis. Destination actuelle : les communs abritent aujourd'hui un musée d'arts et de traditions paysannes. Le domaine d'Argy, propice à la promenade, accueille régulièrement des manifestations artistiques et culturelles, ainsi que des ateliers sur l'architecture et la flore.
Classement : classé Monument historique en 1930
Km 161.5
Déols (7 620 hab.)
Déols fut le théâtre au Ve siècle d’une importante bataille entre les Bretons et les Wisigoths, remportée par ces derniers. De son passé médiéval subsistent deux belles portes de ville. Mais l’histoire de la commune est surtout marquée par la présence de l’abbaye Notre-Dame de Déols, important site clunisien sur la route de Saint-Jacques-de-Compostelle. Sa proximité avec Châteauroux est aujourd’hui l’un des atouts de son développement. En plus de l’usine Marcel-Bloch (Marcel Dassault), qui témoigne de son passé industriel, Déols dispose d’un équipement culturel de premier ordre, le Mach 36, ouvert en 2007.
Abbaye Notre-Dame de Déols
Fondation : 971
Style : roman.
Ordre : bénédictin.
Histoire : la maison féodale est fondée sur le modèle de l’abbaye de Cluny. Mais dès le Xe siècle, les rapports avec les clunisiens disparaissent. La construction de l’abbaye se fait en plusieurs temps jusqu’au XIVe siècle. L’abbaye compte parmi les plus importantes de son temps à la fois par son architecture et par son influence, disposant d’une église abbatiale extraordinaire. Ses sept clochers et ses dimensions remarquables (113 mètres de long) attirent les vocations de près de deux cents moines. Malgré sa puissance, la guerre de Cent Ans puis les guerres de Religion mènent l’abbaye à sa ruine. Détruite en partie au XVIe siècle par des bandes protestantes elle est sécularisée au profit du prince de Condé en 1628 qui la transforme alors en carrière de pierre. Elle le reste jusqu’au XIXe siècle.
Caractéristiques : les vestiges subsistants sont le clocher, la quatrième travée du collatéral nord, la crypte, le mur sud de la nef et la porte de jonction avec le cloître, la prison des moines, la salle capitulaire, la salle carrée avec ses têtes murales, le réfectoire, la cuisine et les autres bâtiments conventuels.
Signes particuliers : inspiré par les traités d’horticulture médiévaux, le jardin de l’abbaye est composé de douze carrés, symbolisant les douze Apôtres de la religion chrétienne. Le cheminement proposé jusqu’au cloître de l’ancienne abbaye est emprunté à l’imaginaire médiéval et propose une représentation métaphorique de la Terre au Ciel. Le visiteur peut ainsi admirer trois parties distinctes : le jardin des Simples composé de plantes utilisées dans la pharmacopée médiévale, le jardin d’Amour inspiré par la poésie médiévale et le jardin Céleste dédié à la Vierge Marie, symbole de l’abbaye.
Classement : classée Monument historique en 1862.
Usine Marcel-Bloch
Construction : 1936 à 1939.
Histoire et caractéristiques : l’usine Marcel Bloch de Déols, construite de 1936 à 1939, s’inscrit dans la lignée des belles usines d’aviation amorcée vingt ans auparavant. La cour monumentalisée par des portiques, les volumes inspirés du mouvement du Bauhaus, les aménagements intérieurs, témoignent du soin extrême avec lequel Marcel Bloch, qui prit plus tard le nom de Marcel Dassault, et l’architecte Georges Hennequin ont conjugué leurs recherches, dans un programme où la fonction et l’esthétique sont combinées dans les moindres détails.
Classement : inscrite Monument historique en 1991.
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