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Pau : bénéficiant d'une vue imprenable sur les Pyrénées, Pau est une destination charmante à la riche histoire et aux parcs magnifiques. Le boulevard des Pyrénées offre une promenade panoramique unique, tandis que le château de Pau, lieu de naissance d'Henri IV, plonge visiteuses et visiteurs dans l'histoire de France. Dégustez la cuisine locale, en particulier les plats traditionnels comme la garbure (une soupe copieuse de légumes et de viande), dans un paysage à couper le souffle.

Luchon-Superbagnères : cette station de montagne emblématique des Pyrénées est rattachée à la ville thermale de Bagnères-de-Luchon, en Haute-Garonne. Perchée à 1 800 mètres d'altitude et accessible directement de Luchon par télécabine, Superbagnères est une destination de choix en hiver pour skier, avec une variété de pistes adaptées à tous les niveaux, mais aussi en été, pour pratiquer randonnée et VTT. Ensemble, Luchon et Superbagnères forment un duo idéal pour des vacances revitalisantes et sportives au cœur des Pyrénées.

  Région Occitanie

Départements : Ariège, Aude, Aveyron, Gard, Haute-Garonne, Gers, Hérault, Lot, Lozère, Hautes-Pyrénées, Pyrénées-Orientales, Tarn, Tarn-et-Garonne.

Population : 5,9 millions hab.

Préfecture : Toulouse

Superficie : 72 724 km2

Spécialités : foie gras, cassoulet, aligot, tielle sétoise, brandade de morue, haricots tarbais, garbure, oignon doux, cerises de Céret, vins (Pic Saint-Loup, Corbières, Cahors, Costières de Nîmes, blanquette de Limoux, Minervois, Tavel, Madiran). Eau source Perrier.

Clubs sportifs : Stade Toulousain, Castres Olympique, Montpellier HR, USAP Perpignan (rugby), Montpellier HSC, Nîmes Olympique, Toulouse FC (football), Dragons Catalans (rugby à XIII), Montpellier Handball, Fenix Toulouse, USAM Nîmes-Gard (handball) 

Compétitions : Tour de France, Open Sud de France (tennis), Route d’Occitanie (cyclisme).

Économie : aéronautique et espace (Airbus, Ariane, Toulouse), défense, informatique, nucléaire, agro-alimentaire, agriculture (vins, céréales) tourisme, industrie pharmaceutique. Universités (Montpellier, Toulouse).  

Festivals : férias de Nîmes et Béziers, Rio Loco (Toulouse), Festival Radio France Montpellier (classique), Comédie du Livre (Montpellier), Electro Beach (Port Barcarès), Jazz in Marciac, Cinémed (Montpellier), Circa Auch, festival du roman noir à Frontignan.

Sites touristiques : Cité de Carcassonne, basilique de Lourdes, Toulouse (Capitole, Saint-Sernin, ville rose), Montpellier (place de la Comédie, Écusson), plages, Pont du Gard, Arènes de Nîmes, châteaux forts cathares, Canal du Midi, cathédrales d’Albi, Castres et Rodez. Viaduc de Millau, grottes de Niaux et du Maz d’Azil. Pont Valentré à Cahors. Villages de caractère. Plages de l’Aude, du Gard et de l’Hérault. Stations de ski des Pyrénées et de l’Ariège.

Site web : www.laregionoccitanie.fr

 

  PYRENEES-ATLANTIQUES (64)

Population : 664 057 hab.

Préfecture : Pau

Sous-préfectures : Bayonne, Oloron-Sainte-Marie

Superficie : 7 645 km2

Spécialités : piperade, vins (Madiran, Pacherenc, Jurançon, Irouléguy…), poule au pot, garbure, axoa, piment d'Espelette, poulet basquaise, gâteau basque, jambon de Bayonne…

Clubs sportifs : Elan Béarnais Pau-Lacq-Orthez (basketball), Section Paloise, Biarritz olympique, Aviron Bayonnais (rugby)

Compétitions : Coupe du monde de canoë-kayak à Pau, Grand Prix de Pau, Concours complet international de Pau

Festivals : Fêtes de Bayonne, Festival Hestiv'Òc

Économie : agropastoralisme, hydroélectricité, agroalimentaire, aéronautique, thermalisme…

Sites web / FB / Twitter : 

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Km 1

Km 1 : Bizanos (4 570 hab.)

C’est la commune natale de Jean-Michel Larqué, ancien milieu de terrain international ayant fait les beaux jours de Saint-Etienne et du PSG, surtout connu comme commentateur et pour le tandem qu’il formait avec Thierry Rolland sur TF1.

Château de Franqueville Erigé à cet emplacement stratégique au XVIIe siècle grâce, la maison seigneuriale est transformée en demeure d'agrément au XIXe siècle. Mis en vente après ces rénovations en 1851, il est alors présenté comme un bâtiment de style moderne placé sur un parc de 30 ha. Revendu, il est devenu un hospice civil de Pau, avant d'être acheté par la commune de Bizanos en 1988, qui l'ouvrit au public comme salle de réception en 1992. En 2006, une association a été créée pour replanter un vignoble sur les pentes du site historique. Un hectare de vigne, 20 ares de conservatoires de vieilles variétés, 16 ares de Camaralet, 180 souches de Petits Mansengs.

Km 3.1

Km 3,1 : Idron (5 130 hab.)

C’est à Idron que Philippe Bernat-Salles a commencé le rugby, sélectionné par la suite à 41 reprises par le XV de France au poste d’ailier. En club, il a joué essentiellement pour la Section paloise et pour le Biarritz Olympique, avec lequel il a remporté deux titres de champion de France (2002 et 2005). Il est ensuite devenu président de la Ligue nationale de handball de 2010 à 2018.  

Km 12

Km 12 : Boeil-Bezing (1 330 hab.)

C’est le village où a grandi le tennisman Jérémy Chardy, professionnel de 2005 à 2023. Il a participé à la campagne victorieuse de la France en Coupe Davis en 2017 et remporté un tournoi, celui de Stuttgart en 2009. Vingt-cinquième mondial au sommet de sa carrière, il entraîne depuis sa retraite son compatriote Ugo Humbert. 

HAUTES-PYRÉNÉES (65)

Population : 231 453 habitants

Préfecture : Tarbes

Sous-préfectures : Argelès-Gazost, Bagnères -de -Bigorre

Superficie : 4 464 km²

Spécialités : Le Haricot Tarbais (IGP, Label Rouge), le Noir de Bigorre (AOP), le Madiran (AOC), le Pacherenc, le Mouton de Barèges-Gavarnie(AOP), la Poule Noire Astarac Bigorre, la Garbure, le Gâteau à la Broche, le fromage des Pyrénées, Oignon de Trébons, la Truite des Pyrénées

Clubs sportifs : clubs de rugby de nationale 1, nationale 2 et fédérale 1 (Tarbes Pyrénées Rugby, Lannemezan, Bagnères-de-Bigorre et Lourdes), Tarbes Gespe Bigorre en ligue féminine de Basket.

Evénements : Coupe du Monde de VTT descente et VTT Enduro Loudenvielle du 29 mai au 1er juin 2025 / Montée du Géant du Tourmalet (juin 2025) / Grand Raid des Pyrénées (20 au 24 aout 2025) / Balneaman Triathlon (13 septembre 2025) / Pyrénées Cycl’n trip (11 cols réservés du 21 au 25 juillet 2025) / Patou Trail (20, 21 et 22 juin 2025) / La course des étoiles Bagnères (octobre 2025)

Compétitions : Coupe du Monde de VTT de descente (Lourdes), La Montée du Géant du Tourmalet, Grand Raid des Pyrénées, Pyr’Epic…

Festivals : Festival l’Offrande Musicale / Equestria Tarbes / Festival « Jazz à Luz » à Luz St Sauveur / Festival Piano Pic / Festival des petites églises de montagne / Tarbes en tango / Exposition d’art contemporain à l’abbaye de l’Escaladieu Bonnemazon / Les Escales d’Automne / Big Bag Festival à Bagnères de Bigorre / Musée Pyrénéen au Château de Lourdes / Musée Massey à Tarbes / Scène Nationale « le Parvis » à Ibos / Fête du vin à Madiran / Foire aux traditions à Loudenvielle

Sites touristiques majeurs : Parc National des Pyrénées, Réserve Naturelle Nationale du Néouvielle, Cirque de Gavarnie inscrit au Patrimoine Mondial par l’Unesco, Réserve Internationale du Ciel Etoilé du Pic du Midi,  5 Grands Sites d’Occitanie (Pic du Midi, Gavarnie - Cauterets Pont d’Espagne, Lourdes et Pyrénées Aure Louron), 5 Grands Cols (Peyresourde, Val Louron-Azet, Aspin, Tourmalet, Soulor)

Économie : Le tourisme est la première activité économique du département, représentant près d’un tiers de l’activité. L’agriculture est très présente également. Le département des Hautes-Pyrénées est le deuxième en termes de pastoralisme. Enfin l’industrie contribue aussi au développement économique avec des sociétés comme Alstom, Daher ou encore Tarmac.

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Tourmalet, Aspin, Peyresourde…des noms qui évoquent des paysages fantastiques. Oui, mais voilà. Tout le monde n’a pas l’âme et les capacités d’un héros du vélo, d’un as de la danseuse, d’un porteur de maillot à pois. Lorsqu’il s’agit d’avaler cols, sommets et kilomètres de montagnes, beaucoup préfèrent l’auto. Qui peut les en blâmer ? C’est pour eux que les Hautes-Pyrénées ont créé, à l’instar de leurs illustres aînées que sont la Route 66, la Route de la Soie ou la Transamazonienne, un itinéraire touristique en mode Pyrénées Roadtrip.  

Au programme : 2 pays (la France et l’Espagne) ; 8 cols mythiques ; 3 sites inscrits au Patrimoine Mondial de l’Unesco ; 4 parcs naturels et des coins secrets que seules les Pyrénées sont capables d’offrir. Au final, une aventure authentique et inoubliable mais surtout une idée pour les vacances entre copains, en amoureux ou en famille. Côté logistique, la Boutique des Pyrénées, spécialiste des vacances sur-mesure, s’occupe de tout : hébergements de choix, accès aux Grands Sites, entrées pour les centres de balnéo, balades accompagnées, bonnes tables, etc.   

Km 28.1

Km 28,1 : Saint-Pé-de-Bigorre (1 160 hab.)

Abbaye et église de Saint-Pé-de-Bigorre Fondation : XIe siècle

Style : roman prédominant

Histoire : l’abbaye fut fondée par des moines appartenant à l’ordre de Cluny, elle prit rapidement de l’importance car située sur le chemin de Saint-Jacques de Compostelle. Le monastère eut à souffrir des guerres de religions, saccagé en 1569, puis sérieusement endommagé par le tremblement de terre de 1661.

Caractéristiques : de l’édifice roman, il ne reste que deux absidioles dans la partie orientale, un pan de mur du bas-côté méridional, un porche médiéval à l’ouest de celui-ci, et quelques éléments du transept sud. Quelques chapiteaux du cloître et de l’église, ainsi que des éléments du portail oriental détruit, sont encore conservés.

Signe particulier : rachetée en mai 2017, elle est devenue la « Maison Maronite de la Mère de la Miséricorde » et a fait l’objet d’une restauration pour accueillir les pèlerins en route pour Compostelle.

Classement : Monument historique depuis 1977

Km 37.6

Km 37,6 : Lourdes (14 400 hab.)

Lourdes reçoit chaque année des millions de visiteurs venus de tous les continents. Depuis 1858, ils viennent en pèlerinage se recueillir à l’endroit où Bernadette Soubirous rencontra la Vierge dans une grotte près du gave. En 2018, Lourdes a célébré les 160 ans des apparitions. Une étape du Tour de France s’y était élancée en direction de Laruns, où Primoz Roglic avait enlevé son deuxième succès sur la Grande Boucle. Ce n’est qu’en 1948 qu’une ligne d’arrivée a été tracée pour la première fois à Lourdes pour la victoire de Gino « Le Pieux » Bartali. Ce jour-là, le héros national du cyclisme italien, chargé avec Fausto Coppi de redonner le moral à son pays, porta son bouquet de vainqueur dans la grotte et attribua sa victoire miraculeuse dans le Tour, dix ans après la première, à Notre-Dame de Lourdes. Il ne manqua par la suite de revenir se recueillir dans le sanctuaire à chacun de ses passages dans la région. D’autres étapes se sont jouées sur les hauteurs, dans la station voisine d’Hautacam mais, en 2011 la dernière arrivée en ville était revenue à Thor Hushovd, alors vêtu du maillot de champion du monde.

Le Sanctuaire Notre-Dame de Lourdes et la Procession aux Flambeaux
Séparé du reste de la cité par une boucle du Gave, à l’ouest de la ville, le domaine de la Grotte, également dénommé le Sanctuaire Notre-Dame de Lourdes, est un domaine privé de 52 ha. Il est ouvert tous les jours de l’année. D’avril à octobre, chaque soir à 21h, une procession aux flambeaux rassemble des milliers de pèlerins et touristes, depuis la Grotte des apparitions à l’esplanade de la Basilique Notre-Dame du Rosaire.

Château fort de Lourdes Construction :  
XIII, XVIe et XIXe siècles.

Histoire :
restauré en 1590 par Henri IV puis en 1828 par l’Etat et acquis en 1894 par la commune. Transformé en prison sous Louis XIV et jusqu’au milieu du XIXe.

Caractéristiques :
témoin remarquable de l’évolution des fortifications du piémont pyrénéen depuis le haut Moyen-âge jusqu’au XIXe, il domine la ville et les sanctuaires. Sa position stratégique à l’entrée des sept vallées du Lavedan fait qu’il a constitué de tout temps une forteresse imprenable. Multiples espaces extérieurs, du donjon aux remparts.

Destination actuelle :
en 1921, le château accueillit dans ses murs le Musée Pyrénéen, musée des Arts et Traditions Populaires et d’histoire régionale.

Classement :
classé Monument historique en 1995

Km 49.4

Km 49,4 : Ayzac-Ost (450 hab.)
Village natal de Jacques Chancel, qui suivit 35 Tours de France et anima pendant quatre ans, de 1985 à 1989, l’émission À chacun son Tour sur France 2. Créateur de Radioscopie sur France Inter et du Grand échiquier sur Antenne 2, il est décédé en 2014.

Km 51.5

Km 51,5 : Argelès-Gazost (voir étape 12)

Km 55.6

Km 55,6 : Saint-Savin (340 hab.)
Ce joli village perché au-dessus de la vallée d’Argelès-Gazost, en face d’Hautacam, est célèbre pour son ancienne abbaye dont demeure essentiellement une belle église abbatiale classée. C’est aussi un rendez-vous des suiveurs en raison du restaurant gastronomique qui s’y trouve depuis sept générations, le Viscos, fréquenté par les amateurs de cyclisme.

Km 56.1

Km 56,1 : Adast (250 hab.)
Le journaliste, écrivain, producteur et amoureux du Tour Jacques Chancel y possédait une belle demeure, le Château de Miramont, bâti au XVIIIe siècle et modifié au XIXe siècle, qui domine le village. La chapelle Notre-Dame-de-Piétat est classée Monument Historique. À 700 mètres de l’abbatiale Notre-Dame-de-l’Assomption, elle domine toute la vallée. La plus ancienne mention connue la concernant remonte à 1493. Elle était à cette époque, et ce jusqu’à la Révolution française, lieu de culte et de prière à la Confrérie de Notre-Dame-de-Piétat. Au XVIIIe siècle un grand nombre d’agrandissements et d’embellissements ont transformé le lieu : 1740, construction d’une chapelle et de la sacristie ; 1754, agrandissement de la nef et construction du clocher. La superbe voûte en bois peint de la nef (XVIIIe siècle) est aussi connue comme la « voûte aux oiseaux ».

Km 69.5

Km 69,5 : Esquièze-Sère
Les deux églises de la commune font l’objet d’une protection des Monuments historiques.  L’église Saint-Jean-Baptiste de Sère est classée depuis 1914, tandis que l’église Saint-Nicolas d’Esquièze est inscrite depuis 1979.


Église Saint-Jean-Baptiste de Sère

Construction : XIIe siècle.

Style : roman.

Histoire et caractéristiques : entièrement construite au XIIe siècle, l'église n'a subi aucune restauration ni modification, hormis une fenêtre du chœur percée au XVIIIe siècle. L'édifice est à trois nefs voûtées en berceau plein cintre et séparées par des doubleaux à deux rouleaux, terminées par trois absides circulaires. La première travée est précédée d'une large arcade supportant le clocher dont l'accès se fait par un étroit escalier latéral débouchant entre les deux murs supportant les cloches. En avant de la façade se trouve un porche également du XIIe siècle, rare exemple aussi complet. Le porche protège un portail roman à cinq rouleaux dont un garni de colonnes à chapiteaux historiés. Le tympan est orné d'un grand chrisme accompagné de l'alpha et de l'oméga ainsi que de deux colombes et de deux cercles plus petits où l'on voit l'Agneau pascal portant la croix et le Pélican portant également la croix, symbole très rare du Christ donnant son sang pour nourrir spirituellement les fidèles.

Classement : classée Monument historique en 1914.

Km 70.5

Km 70,5 : Luz-Saint-Sauveur (1 200 hab.)
En 1985, la ville fut le lieu de départ d’une demi-étape enlevée par Stephen Roche. Neuf arrivées eurent lieu dans la station de Luz-Ardiden, la dernière en 2021, lorsque Tadej Pogacar s’y était imposé. Bien plus tôt, Victor Hugo y séjourna et Napoléon III y fit construire en 1861 un pont monumental enjambant le Gave de Pau.

Pont Napoléon Construction : 1859 à 1963.

Histoire : Napoléon III fit construire ce pont (1859 à 1863, hauteur 65 m) pour remercier les habitants de Saint Sauveur. En effet, le pont Napoléon fut bâti lors de la venue de l’Impératrice Eugénie, qui fut soignée de sa stérilité aux thermes de Saint Sauveur. Ce pont permis le désenclavement de la vallée de Gavarnie. Voici ce que Victor Hugo disait de sa visite dans cette petite « ville lumière » : « Trois grands rayons de jour y entrent par les trois embrasures des trois montagnes. Quand les miquelets et les contrebandiers espagnols arrivaient d’Aragon par la brèche de Roland et par le noir et hideux sentier de Gavarnie, ils apercevaient tout à coup à l’extrémité de la gorge obscure une grande clarté, comme est la porte d’une cave à ceux qui sont dedans. Ils se hâtaient et trouvaient un gros bourg éclairé de soleil et vivant. Ce bourg, ils l’ont nommé lumière, Luz. »      

Km 71

Km 71 : Esterre (190 hab.)

Château Sainte-Marie Construction : Xe siècle.

Style : château fort.

Histoire : sa construction date du Xe siècle par les comtes de Bigorre. Au XIVe siècle, il passa aux mains des hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem puis plus tard aux chevaliers de Malte. Les Anglais s’en emparèrent jusqu’en 1404, où le comte de Clermont, aidé des habitants de la vallée commandés par Aougé de Coufitte les en chassa. Le château fut ensuite abandonné.

Caractéristiques : perché au sommet d’un éperon rocheux, il a servi de forteresse pour la vallée mais aussi de lieu de refuge pour les populations. En ruine.

Signe particulier : la restauration est entreprise dans les années 1980, sauvegardant ainsi un des vestiges les plus marquants de l’histoire de la vallée.

Classement : vestiges inscrits aux Monuments historiques depuis 1930.

Km 74.4

Km 74,4 : Betpouey (80 hab.)
Le village de Betpouey, avec son lavoir et sa jolie église Saint-Sébastien (XIIe et XIVe siècles) est le village natal de Louis Armary, pilier gauche qui compte 46 sélections avec le XV de France entre 1987 et 1995. « Louisou », qui joua toute sa carrière au FC Lourdes, a participé aux trois premières éditions de la Coupe du monde de rugby et a remporté le Tournoi à trois reprises. Il est devenu conseiller départemental en 2015. 

Km 77

Km 77 : Barèges (230 hab.)

Station thermale la plus haute de France, elle est spécialisée dans les séquelles de traumatismes articulaires, d’entorses, fractures et luxations et dans la rhumatologie. En 1675, Madame de Maintenon et le petit duc du Maine sont venus à Barèges soigner sa claudication. En effet, depuis que des paysans avaient remarqué que leur bétail qui allait patauger dans l’eau de certaines sources guérissait aisément de ses blessures, les eaux de Barèges étaient réputées cicatriser les plaies. Malgré l’inconfort des installations, les fréquentes inondations du Bastan, les éboulements, malgré la rudesse des lieux et des gens, Barèges devint la station thermale à la mode. Avant 1730, la route de Lourdes à Barèges fut entreprise, suscitant l’admiration des contemporains. Le pénible détour par le Tourmalet devint inutile dès 1744. Les militaires affluèrent. On leur construisit une caserne et un hôpital aux façades austères en 1732, reconstruit par Napoléon III en 1859. Et l’empereur signa, le 6 mai 1860, le décret ordonnant la construction des routes thermales, réhabilitant ainsi celle de Bagnères-de-Bigorre à Barèges par le Tourmalet. Les thermes sont construits de 1861 à 1864. Longtemps simple hameau thermal, les Bains de Barèges sont devenus commune indépendante en 1946. Dès 1920, Barèges se tourne vers les sports d’hiver. Le funiculaire de l’Ayré est mis en service durant l’année 1939. Barèges a vu à de nombreuses reprises passer le Tour de France en raison de sa proximité avec le Tourmalet et eut même le droit de voir son nom accolé au grand col lors d’une arrivée d’étape en 2019, remportée par Thibaut Pinot.

Km 89.5

KM 89,5 – Col du Tourmalet
Il y avait un grand absent au sommet de la première ascension du Tourmalet en 1910 : Henri Desgrange lui-même. Le créateur du Tour avait longuement hésité à faire figurer le col sur le parcours, une difficulté qui avait d’ailleurs rebuté de nombreux coureurs, et l’édition 1910 s’était élancée avec seulement 110 participants. L’étape Perpignan-Luchon et ses premiers cols pyrénéens conforta le patron de l’Auto dans l’idée que le programme du Tour était décidément peut-être trop copieux... Déjà, avant le départ, il avait subi les foudres de certains concurrents. Après l’arrivée à Luchon, il sent bien que le moral des troupes, à commencer par celui du leader Octave Lapize, n’est pas des plus enjoué. Prétextant une indisposition, Desgrange reste prendre les eaux à Luchon et confie les clefs de la course à Victor Breyer. Grand amateur de boxe, ce dernier saura montrer les poings en cas de besoin. Desgrange n’a pas vraiment tort de s’éclipser. Arrivé au sommet du Tourmalet, puis en vainqueur à Bayonne, Lapize ne décolère pas : « Des criminels ! », accuse-t-il. Desgrange n’est pas là pour l’entendre. Voilà un crime qui reste impuni depuis un siècle ! Depuis, les coureurs ont en effet franchi ce géant du Tour à 85 reprises et reviendront une fois de plus rendre hommage au successeur d’Henri Desgrange, Jacques Goddet, au pied de la stèle qui lui est dédiée. Au cours de sa longue histoire d’amour-haine avec la course, le Tourmalet a déjà accueilli trois arrivées d’étapes, en 1974 (victoire de Jean-Pierre Danguillaume), en 2010 (Andy Schleck) et en 2019 (Thibaut Pinot). Le Tourmalet a également reçu le Tour de France Femmes avec Zwift en 2023, enregistrant le succès de Demi Vollering, qui y assurait sa victoire au général

Km 92.9

Km 92,9 : La Mongie

La station a reçu trois étapes du Tour (1970, 2002, 2004) et accueilli des épreuves de coupe du monde de ski en 1985. En 1970, pour la première arrivée dans la station, un jeune coureur du nom de Bernard Thévenet s’était révélé en remportant sa première étape dans le tour. Huit autres allaient suivre, et deux victoires à Paris. Le téléphérique qui monte au pic du Midi de Bigorre (2 872 m) permet d’en visiter l’observatoire.

Km 106.8

Km 106,8 : Sainte-Marie-de-Campan

C’est dans ce hameau de Campan qu’Eugène Christophe, le premier Maillot Jaune, fut contraint de réparer sa fourche chez le forgeron local. Une statue, installée en face de l’église, rappelle ce moment historique du Tour de France 1919.  

Km 206.3

Km 206,3 : Campan (1 500 hab.)

Au pied du Tourmalet, chef-lieu du canton qui porte son nom, Campan fut au début du XIe siècle la troisième ville la plus peuplée du département des Hautes-Pyrénées avec près de 4 500 habitants, qui vivaient de la forêt, du marbre vert et de l’élevage. Le tourisme est aujourd’hui l’une des principales ressources d’une localité qui a conservé une belle halle du XVIe siècle, témoin d’un important marché aux bestiaux, et plusieurs édifices religieux remarquables, comme l’église Saint-Jean-Baptiste (XVIe) et Notre-Dame-de-l’Assomption à Sainte-Marie de Campan. Parmi les célébrités de Campan figurent Dominique Gaye Mariolle, célèbre grognard des armées napoléoniennes, qui mesurait plus de deux mètres et était réputé pour ses facéties. Une statue d’Eugène Christophe se trouve sur la place qui porte son nom devant l’église du village, en hommage à son exploit de 1919, lorsque le Vieux Gaulois fut contraint de réparer sa fourche sur la forge du hameau voisin de Sainte-Marie-de-Campan.   En 2016, une arrivée d’étape fut jugée au Lac de Payolle, sur la commune de Campan, et remportée par le Britannique Stephen Cummings.

Km 119.3

Km 119,3 : col d’Aspin

L’Aspin est l’un des cols les plus fréquemment empruntés par la route du Tour masculin puisqu’il fut franchi par le peloton et la caravane à 76 reprises. La liste des coureurs l’ayant franchi en tête depuis la première ascension en 1910 se lit comme un Who’s who des grands grimpeurs, d’Octave Lapize à Richard Virenque en passant, par Jean Robic, Gino Bartali, Fausto Coppi, Louison Bobet, Charly Gaul, Federico Bahamontes ou Lucien Van Impe. Le dernier en date a été Neilson Powless en 2023

Km 131.1

Km 131,1 : Arreau (810 hab.)

Capitale des Quatre-Vallées de la Vallée d’Aure, ses habitants sont appelés les Arrois. La commune est une plaque tournante sur la route de Saint-Jacques-de-Compostelle, et fut un important centre drapier jusqu'à la Révolution. L’église Notre-Dame, du XIIe siècle, a été bâtie dans le style romano-gothique, avec un clocher-tour à baies géminées du XVIe siècle. Elle servait à la défense du village. Dans la tour, se trouvait d'ailleurs une salle d'armes. Le village aux toits d'ardoise, avec sa place centrale, est dominé par sa jolie mairie. La place accueille également un marché tous les jeudis sous les arcades. L’édifice municipal est relativement récent (1930), mais il s'intègre parfaitement avec le style architectural des demeures plus anciennes. En se promenant, on trouve également de belles maisons à colombages.

 Km 131,1 : Arreau (810 hab.)

Capitale des Quatre-Vallées de la Vallée d’Aure, ses habitants sont appelés les Arrois. La commune est une plaque tournante sur la route de Saint-Jacques-de-Compostelle, et fut un important centre drapier jusqu'à la Révolution. L’église Notre-Dame, du XIIe siècle, a été bâtie dans le style romano-gothique, avec un clocher-tour à baies géminées du XVIe siècle. Elle servait à la défense du village. Dans la tour, se trouvait d'ailleurs une salle d'armes. Le village aux toits d'ardoise, avec sa place centrale, est dominé par sa jolie mairie. La place accueille également un marché tous les jeudis sous les arcades. L’édifice municipal est relativement récent (1930), mais il s'intègre parfaitement avec le style architectural des demeures plus anciennes. En se promenant, on trouve également de belles maisons à colombages.

Château des Nestes 

Construction : entre les XVe et XVIIIe siècles.

Histoire : bâti sur l'enceinte qui clôturait le nord du quartier de la Neste du Louron, il servait de protection au sanctuaire voisin dédié à St-Exupère et faisait office de commanderie des Hospitaliers. L'aile nord en équerre était le siège d'une juridiction. Il prend le nom de Château de Camou (« terre d'eau ») du fait de l'humidité des lieux (XVII - XVIIIe siècles). Le château a été réhabilité en 1989 dans le cadre des Grands Travaux du président François Mitterrand.

Signes particuliers : outre la beauté de cette ancienne commanderie, le musée comporte une curiosité unique dans la région, avec une partie consacrée aux « cagots », ces êtres exclus de la société, sorte d’intouchables de l’époque médiévale, omniprésents dans la région et en Béarn.

Classement : inscrit Monument historique en 1981.  

Les Cagots Ils furent présents dans toute l’Europe au Moyen Âge. Les montagnes des Pyrénées, pourtant terres de refuge, furent néanmoins le lieu où le phénomène des Cagots fût le plus appuyé. Les explications les plus diverses ont été données quant à l'origine de ces parias. Le terme de Cagots, semblerait tirer d'un mot béarnais signifiant lépreux, et qui apparaît dans les textes vers l'an 1300. La lèpre désignait au Moyen-âge, différentes maladies qui inspiraient la peur de la contagion. Race maudite à vie, leur condition était mentionnée dès la naissance dans l'acte de baptême, célébré à la nuit tombée, sans carillons. Ils ne portaient pas de nom, mais un prénom suivi du terme Chrestiaa, Cagot, Gézitain et étaient parqués dans un quartier extérieur au village où ils travaillaient le bois. Dans certaines églises, ils étaient reclus dans une partie qui leur était réservée ou utilisaient un bénitier spécial. Cet isolement qui leur était imposé entraînait deux conséquences : la consanguinité qui engendrait de la dégénérescence et même du crétinisme, et l'afflux, parmi eux, de personnages suspects qui, bravant la contagion, ne risquaient pas d'être poursuivis, en de tels lieux, par la maréchaussée. Dans certains endroits, ils devaient porter une patte de canard ou d'oie d'étoffe rouge cousue sur leurs vêtements. Une fois décédés, ils étaient inhumés à l'écart des « vrais chrétiens » comme ils avaient vécu. Pendant plus de trois siècles, ce furent brimades, procès gagnés (encagés par les Cagots), appui du haut clergé et des princes, mais résistance des autorités locales et du peuple.

Km 141.7

Km 141,7 : Cazaux-Fréchet-Anéran-Camors (70 hab.)

La commune compte trois églises comme autant de hameaux rattachés.

Église Saint-Calixte de Cazaux-Fréchet Construction : Xie siècle.

Style : roman.

Histoire : selon la légende, l'édifice aurait été bâti à l'emplacement de la sépulture de saint Calixte. Originaire de Huesca, il combattit auprès du roi Sanche le Grand contre les Maures au XIe siècle. Fait prisonnier, il refusa de renier sa foi et fut massacré par les armées ennemies au-dessus du village de Cazaux-Fréchet-Anéran-Camors. L'église date en grande partie du XIe siècle et de l'époque romane comme l'atteste la nef unique prolongée par une abside semi-circulaire bordée à l'ouest par un son clocher-mur surmonté de quatre baies. Au XVIe siècle, la nef a été agrandie par la construction d'une chapelle au nord qui a reçu un décor peint, réalisé par Melchior Rodiguis. À la même époque le plafond actuel de la nef a été installé et fut décoré vers 1720.

Caractéristiques : La voûte en cul-de-four a été ornée d'une peinture murale du XIIe siècle représentant le Christ en gloire. Le retable architecturé du maître-autel a été réalisé au XVIIIe siècle.

Classement : classée Monument historique depuis 1944.

Km 150.1

Km 150,1 : col de Peyresourde (1 569 m)

Avec 70 passages depuis 1910, lorsqu’il fut l’un des cols pionniers, la montée à Peyresourde est l’une des ascensions les plus fréquemment empruntées par le Tour de France. C’était encore le cas en 2021, avec David Gaudu en tête.

HAUTE-GARONNE (31) 

Population : 1 400 039

Préfecture : Toulouse

Sous-préfectures : Muret, Saint Gaudens

Superficie : 6 309 km²

Spécialités : cassoulet, saucisse de Toulouse, foie gras, magret de canard, violette de Toulouse, vin AOP Fronton, ail AOC Cadours, agneau IGP des Pyrénées, porc noir de Bigorre (AOC), veau fermier du Lauragais (Label Rouge).

Sports : Alpinisme, équitation, escalade, randonnées pédestres (Via Garona GR861, GR10, GR46, GR653, GR86,), rugby, spéléologie, sports d’eaux vives sur la Garonne (canoë kayak, hydrospeed, rafting), sports aériens (parapente, planeur, ULM) sports d’hiver (ski, raquettes, chiens de traîneau), VTT (espace FFC Pyrénées Comminges),Voile.

Clubs sportifs : Stade Toulousain, Toulouse Football Club, Fénix Toulouse Handball, Toulouse Métropole Basket, Spacers Volley, TOXIII, l’Union Sportive Colomiers Rugby.

Compétitions : Luchon Aneto Trail (la ville de Luchon est labellisée Station Trail), trail du Mourtis », Trail Toulouse Métropole, Trail du Cagire

Festivals : 31 Notes d’Eté, Jazz sur son 31, Festival des créations télévisuelles de Luchon, Printemps du rire, Rio Loco, Festival du Comminges à Saint Bertrand de Comminges, Toulouse les Orgues…

Économie : Aéronautique et spatial, Tourisme, 4 stations de ski, viticulture (Fronton)

Sites remarquables : Musée de l’Aurignacien, Saint Bertrand de Comminges classé « Plus beaux villages de France » ; Martres-Tolosane et Revel labellisées « Villes et Métiers d’Art » ; Lac de Saint Ferréol ; le Canal du Midi classé à l’Unesco avec sa voie verte ; Lac d’Oô dans les Pyrénées centrales ; La Cité de l’Espace, La basilique Saint Sernin, l’une des plus grandes basiliques romanes conservées d’Europe…

A vélo : 50 sites labellisés Accueil Vélo. Route des cols Pyrénéens avec panneaux de signalisation spécifique (dénivelé, altitude…). Département traversé par le Canal des 2 Mers à Vélo, avec une  voie verte qui longe le Canal du Midi. 3 parcours cyclables dont un le long de la Garonne, de Carbonne aux Pyrénées qui reliera bientôt l’Espagne (Trans Garona).

Sites web et réseaux sociaux : http://www.haute-garonne.fr / http://hautegaronnetourisme.com, https://www.facebook.com/TourismeHG / https://twitter.com/TourismeHG , https://www.instagram.com/tourismehg

Km 158.2

Km 158,2 : Saint-Aventin (60 hab.)

Église Saint-Aventin

Fondation : XIe et XIIe siècles

Style : roman

Caractéristiques : l’église, à deux clochers, possède un porche orné de sculptures, des chapiteaux historiés avec des scènes de la vie et du martyre de Saint-Aventin. À l'intérieur, des peintures monumentales, une cuve baptismale et une grille d'autel en fer forgé. L'église fait partie des nombreuses églises romanes remarquables de la vallée de Larboust et de la vallée du Louron.

Signes particuliers : les murs extérieurs portent de nombreux remplois de stèles et d'autels païens dédiés à des dieux pyrénéens, dont Abellio et Aherbelst.

Classement : Monument historique depuis 1840.

Km 163.1

Km 163,1 : Bagnères-de-Luchon (2 700 hab.)

Sa position privilégiée a permis à Bagnères-de-Luchon d’accueillir à 56 reprises le Tour de France, un record pour une ville de cette importance. Il faut dire que cette ville d’eau réputée est entrée dans l’histoire de la Grande Boucle dès 1910, en accueillant les deux premières étapes de haute montagne de l’épreuve, toutes deux remportées par Octave Lapize, futur vainqueur de cette édition. La Reine des Pyrénées a d’ailleurs souvent consacré le futur lauréat du Tour, ou son héros, comme Pascal Simon en 1983, Thomas Voeckler en 2010 ou Julian Alaphilippe en 2018. Cette année-là, les allées d’Étigny avaient donné lieu à un départ inédit sous la forme d’une grille à la manière d’un Grand-Prix de F1. Bagnères-de-Luchon est la ville montagnarde la plus caractéristique de tout le massif des Pyrénées. Entourée des 13 sommets les plus célèbres de la chaîne, tels l’Aneto (3 404 m) point culminant des Pyrénées, Luchon est une destination de vacances animée qui attire les voyageurs de tous types, en toutes saisons. Depuis 2011, Bagnères-de-Luchon fait partie des Grands Sites de Midi- Pyrénées. C’est par ailleurs une renommée deux fois millénaire qui consacre les vertus thérapeutiques des eaux de Luchon. Ce n’est pas un hasard si la déesse romaine de l’eau Ilixon a donné son nom au pays de Luchon. Aujourd’hui, la station thermale de Bagnères-de-Luchon est la plus fréquentée de la Haute-Garonne et de la Région Midi-Pyrénées. Elle fait partie depuis 2011, de l’association des villes thermales européennes.

Km 169.9

Km 169,9 : Pont de Ravi  

Le pont de Ravi, achevé en 2023 en remplacement de deux ponts vétustes, permet à nouveau d’accéder à la station de Superbagnères dans de bonnes conditions. Le nouvel ouvrage, d’une portée de 60 mètres, permet également au Tour de France de retourner à Superbagnères pour la première fois depuis 1989.   

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