« C’était une étape beaucoup plus relax que les précédentes. J’aurais aimé un peu plus de lignes droites, car on a traversé beaucoup de villages, ce qui rend la course un peu chaotique et stressante parfois. Mais dans l’ensemble, c’était une bonne journée pour récupérer des nombreux efforts déjà fournis. »
« Joao est un guerrier. On l’a vu souffrir toute la journée, notamment dans les relances, mais il s’est accroché et il a continué. Il a l’âme d’un vrai champion. »
« Pendant l’étape, j’ai demandé à la voiture de l’équipe des nouvelles de ma copine Urska, qui court le Giro féminin. Je suis toujours nerveux sur le vélo quand elle court, et c’est génial d’avoir de ses nouvelles. Quand elle va bien, je suis super heureux. »