« Je suis plus ou moins sûr de ma victoire au général, mais je ne veux encore rien dire »
« Je veux rester concentré, avec mon équipe, jusqu’à ce que j’aie franchi la dernière ligne d’arrivée à Paris. C’est toujours un plaisir de rouler dans une si grande et si belle ville que Paris. C’est l’un des aspects les plus magnifiques de ce sport. Nous sommes 180 gars à passer des semaines à rouler dans les montagnes et, à la fin, tout à coup, on se retrouve dans les rues de l’une des plus grandes villes du monde. »
« Je ne sais pas vraiment comment l’étape finale va se dérouler. Ce ne sera pas une classique, car on arrive après 20 étapes et le parcours est relativement court, ce qui rendra l’effort assez explosif. On établira une stratégie en fonction de nos sensations une fois sur le circuit final, et en évaluant les risques que l’on peut prendre. Nous avons des coureurs comme moi ou Jhonatan Narvaez qui peuvent jouer la gagne. »
« Aujourd’hui, la course a été à bloc, surtout pendant la première heure : des montées, des descentes, à gauche, à droite, sous une pluie battante. C’était assez dangereux, et même le Maillot Jaune aurait pu être mis en danger à un moment. »