« Je suis en assez bonne forme sur ce Tour de France. Ma tactique était de grimper le Mont Ventoux aussi vite que possible. Quand le temps est un peu plus frais, je sens que j’ai de meilleures jambes. »
« On a abordé le Mont Ventoux assez fort, en maintenant un bon tempo. Ensuite, ça a été difficile de trouver une vraie coordination dans le groupe, alors j’ai dit aux gars : “Rattrapons Mas d’abord, et ensuite on jouera.” Et c’est ce qu’on a fait. On a ensuite essayé d’attaquer, mais c’était difficile de faire des écarts avec le vent de face. Avec du recul, j’aurais dû forcer un peu plus dans la partie raide au pied avant qu’on arrive dans la section exposée, car au final, la victoire s’est jouée jusqu’à la ligne. »
« Je savais qu’il y avait un virage à droite avant la ligne, alors j’ai essayé de surprendre Valentin juste avant. J’y suis parvenu, mais les cent derniers mètres sont tellement durs… Il avait un meilleur sprint et m’a battu sur la ligne. »
« Il faut que je cible les journées difficiles, car ce sont celles qui me conviennent le mieux. Il reste quelques étapes qui peuvent me correspondre. »
