« La course devient toujours nerveuse sur ce genre de routes quand il commence à pleuvoir, spécialement lors qu’il y a en plus du vent. Mais au final ça s’est bien passé. Mon poignet est toujours un peu douloureux mais ça va un peu mieux… j’aurais le temps de prendre quelques jours de repos pour me soigner après le Tour. J’ai mal quand les routes sont mauvaises… mais en France il y a surtout de belles routes !
On ne sait jamais ce qui peut se passer sur une étape comme celle de demain. Déjà sur la route d’Issoire hier c’était difficile, et ce sera un peu similaire. Alors il faudra être très vigilant, sinon cela pourrait changer le classement général ».