« Je n'étais pas bien. Déjà sur le sommet de la première côte, je n'avais plus de jambes, plus rien. C'est une journée à oublier. Je n'avais pas de force, et c'est très inquiétant de se retrouver comme ça à quatre minutes après trois jours de course après tout le travail consenti pour en arriver là. Pour demain, je suis pessimiste. Si j'ai les mêmes jambes qu'aujourd'hui, je ne vois pas comment ça va passer parce que sur les pavés, il faut de la force. »
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6 juillet 2015
- 18:19
Pinot : « Pour demain, je suis pessimiste. »
