« Ce n'était pas prévu d'attaquer dans la descente. Dans mon esprit, j'avais plutôt l'idée de passer à l'offensive demain, mais dans les deux derniers kilomètres d'ascension, j'ai pensé que je pourrais peut-être tenter quelque chose dans la descente. Je ne l'ai pas reconnue, mais je l'avais vue en vidéo et je savais qu'il y avait un grand virage puis une descente très rapide. J'avais un plateau de 54 dents, au lieu de 53 d'habitude, donc je me suis dit que j'allais en profiter. J'étais à fond, parce que c'est aussi ce que j'aime dans le cyclisme : se faire plaisir, faire des paris osés, etc. Je ne travaille jamais la descente à l'entraînement, en revanche quand nous sommes en stage avec les coéquipiers, il est fréquent qu'on se tire la bourre. C'est dans ce genre de situations que j'ai appris à me mettre dans cette position. »
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9 juillet 2016
- 18:25
Chris Froome : « Ce n’était pas prévu »