« Ça n'a pas suffi, mais je reviens de loin. J'étais au fond du trou, j'avais connu hier ma plus mauvaise journée sur un Tour de France, une journée catastrophe. Je n'arrivais pas à suivre le peloton pendant dix jours et j'avais pris un gros coup au moral alors que j'étais venu pour un Top 5. Ça remet un peu de baume au cœur de l'équipe avant la semaine alpestre. Mais le plus dur, ce n'est pas d'arriver à ce niveau-là, mais de répéter ces performances tous les jours. Je vais continuer à travailler très dur pour lutter avec les meilleurs. Je tire un grand coup de chapeau à Mikael (Cherel) qui est mon meilleur ami et qui a fait un boulot formidable. Mais Rodriguez était le plus fort. Il n'y a rien à regretter. »
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16 juillet 2015
- 17:43
Romain Bardet : « Je reviens de loin »