André Greipel : « A 50 mètres, je n’avais plus rien »

« Les arrivées au sprint sont de plus en plus difficiles, avec de plus en plus de candidats. Mon équipe a fait un très bon travail en m'amenant à 2 km de l'arrivée. Dans le final, c'était nerveux et dangereux. Je voulais prendre la roue de Kristoff, mais je me suis rendu compte qu'il n'avait pas de bonnes jambes. Alors j'ai accéléré à 300 mètres, mais en arrivant à 50, je n'avais plus rien comme énergie, et Cav est arrivé très vite, il m'a passé. Le prochain sprint massif, ce sera à Paris, mais avant cela nous avons d'autres objectifs, comme soutenir Tony Gallopin, et remporter des sprints intermédiaires. »

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