« C'est le Tour de France, la plus grande course du monde, alors c'est là qu'il faut donner tout ce qu'on a. Dans le final, j'étais presque sûr que nous allions réussir. Mais ensuite, aucun de nous deux n'a vraiment voulu rouler à bloc. Mais je n'avais pas de si bonnes jambes, je pense qu'en fin de deuxième semaine je commence à fatiguer, c'est normal. Mais enfin, je peux tout de même être content de moi, parce que j'ai bataillé toute la journée. »
Interviews
20 juillet 2014
- 18:03
Martin Elmiger : « Aucun de nous deux n'a vraiment voulu rouler à bloc »