La tête aux pavés...

Les 15 kilomètres de pavés répartis dans les 50 derniers kilomètres précédant l’arrivée à Arenberg inspirent bien entendu Fabian Cancellara, triple vainqueur de Paris-Roubaix : « Les pavés sur le Tour, c’est toujours quelque chose de spécial… et c’est une réelle opportunité pour moi. C’est une étape qui se jouera sur un rythme très rapide, et ce sera très certainement le chaos. Par rapport à Paris-Roubaix, il y a tout de même beaucoup moins d’endroits pour faire la différence ». L’effectif de Trek tentera également de peser sur le classement général, avec Fränk Schleck et Haimar Zubeldia. En revanche, Andy Schleck reconnaît ses limites actuelles mais ne désespère pas de faire honneur dans l’avenir à son palmarès d’ancien vainqueur : « Je sais que ma condition ne me permet pas de jouer le même rôle : je suis là pour aider Fränk et Haimar, et essayer de me créer une opportunité de gagner une étape. Mais je travaille beaucoup pour retrouver le niveau que j’avais il y a quelques années. Le chemin est peut-être long, mais ce Tour sera une première étape ».

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