« C’est compliqué de rouler pour protéger le maillot blanc alors que l’on doit en même temps s’occuper des intérêts du maillot vert. On dépense toujours beaucoup d’énergie dans le final, alors il y a toujours un risque qu’un écart se creuse. Alors il vaut mieux rester devant et ne pas trop s’éloigner. Mon boulot pour le moment, c’est d’aider Mark Cavendish, et cela me rend fier. Quand il gagne, c’est parfait.
_C’est très sympa de continuer de porter le maillot blanc, j’espère que je pourrai le porter encore plusieurs jours. Nous avons bien essayé de rouler avec plusieurs équipes dans le final, mais le groupe de tête était vraiment très fort. C’était assez imprévisible, parce qu’ils sont passé toute la journée dans le vent. C’est le risque, lorsqu’on laisse une échappée garder de l’avance. Quelquefois ils sont suffisamment forts pour rejoindre l’arrivée. »

