« J’y ai vraiment cru jusqu’au bout. Je savais que ce serait difficile, mais nous avions un bon groupe. Quand de bons rouleurs se relayent correctement, cela fonctionne bien. Mais le peloton prenait garde à ne pas nous perdre de vue, et il n’y avait pas moyen de faire grandir l’écart au-delà de cinq minutes. Au moment d’attaquer en solitaire, je me suis dit qu’il fallait tout tenter. S’il n’y avait pas eu le Cauberg, j’aurais peut-être pu résister jusqu’au bout, mais le final est ce qu’il est ».
Interviews
4 juillet 2006
- 18:16
Jose Luis Arrieta : « Il fallait tout tenter »

